Cecil
Datte: 29/03/2020,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bysanson, Source: Literotica
... Je n'ai jamais mis de chemise avant aujourd'hui...
- Peut-être. T'avais les seins à l'air sous ton tee shirt, oui ou non?
- ... Oui...
- Ca t'excite de sentir les tétons frotter contre le tissu quand tu marches et que tes seins se promènent à la même cadence. Je parie que ça les faisait bander? Et tu pensais à mettre un froc, mais peut-être oubliais-tu de mettre un slip aussi?
- Non j'ai toujours mis un slip!
- Sauf aujourd'hui, salope!
- Quoi, interrompit Max, commment sais-tu qu'elle n'a pas de slip?
- Si vous ne l'avez pas remarqué, vous êtes des veaux! Parce qu'elle ne s'en est pas caché, la pute, ce matin en classe. Ha, vous ne l'avez pas vue se trémousser devant sa mauviette chevelue quand elle faisait mine de l'interroger. C'est la chaleur qui l'excite cette chienne. Elle a encore trop de fringues sur elle. Il faut l'aérer.
- Putain, continua Max, oser se présenter à l'école sans soutien gorge, il faut déjà le faire, mais alors sans slip, faut oser. T'as raison Anatole, je l'aurais jamis cru, mais elle doit avoir faim de cul, pour avoir besoin de le promener à l'air en public... On va se sentir obligé de la rassasier. C'est pas possible, moi je ne peux plus attendre, je vais juter trop tôt sinon...
- Patience coupa Anatole, pour l'instant, je veux qu'elle se foute à poil toute seule. Ca vient, oui ou non?
- Je vous en prie,je ne me suis jamais déshabillée devant un homme...
- Tu allais bien le faire devant l'autre tétard.
- Non, je ...
... lui aurais demandé de le faire.
- Bon, vous deux, soulevez-lui les jambes, et écartez-les au maximum. Je vais l'empaler toute habillée, puisque c'est ce qu'elle veut. Je veux voir ses chevilles sur vos épaules.
- Non je vous en prie, pleura Cécile, ne me faites pas mal!
- Attends d'avoir pris nos queues dans le cul pour chialer, salope! railla Anatole.
Max et Arthur, maintenant déchainés, obéirent avec empressement. Le vice se lisait dans leurs yeux, et l'extrème excitation derrière leur braguette. Chacun d'un côté prit une cheville, et leva en s'éloignant du corps prisonnier. Aussitôt, elle fut donc suspendue par les cheveux, et les racines sur son crâne, affreusement étirées, au bord de l'arrachement, la firent hurler.
- Non! arrêtez, Ha...
- Reposez-la... Tu acceptes de te dessaper?
- S'il vous plaît, je ne peux pas, vraiment.... Déshabillez-moi si vous voulez. J'ai trop honte.
- D'accord, mais tu vas le regretter... Remarque, te plains pas: Je suis bien élevé, je commence par le haut.
Avec sa main droite en crochet, il aggrippa la chemise à l'encolure de la poitrine, entre ses seins, et tira d'un coup vers le bas. Sous la vigueur de l'arrachement, tous les boutons cédèrent d'un coup. La chemise, étroite, se rétracta alors et dévoila l'intérieur des seins mais pas encore les tétons ni même les aréoles, son nombril, et son ventre tout autour, plat et musclé. Cécile poussa encore un cri non pas tellement d'humiliation, mais de douleur car le geste ...