Pâques égyptiennes - Histoires de Sexe

Pâques égyptiennes

... culotte, ou tu as mis un string ultrafin ?
— Hypothèse une, mon chère mari !
— Waow, pas de culotte ? Vous vous dévergondez, ma chère femme !
— À qui la faute ? Je suis mariée à un bonhomme qui passe son temps à m’exhiber sur le web !

Elle exagère un tantinet, mais il y a un fond de vérité. Je rétorque :

— Normal ! Quand un bonhomme comme moi a la chance d’avoir une belle femme comme toi dans sa vie, il aime bien faire admirer sa bonne fortune !
— Pff, l’orgueil des mâles !

Pour couper court, je l’embrasse à nouveau. Quelques instants plus tard, nous montons dans la voiture ; je prends le volant. Je constate qu’elle s’assied lentement sur le siège. Intrigué, je lui demande :

— Tu as un problème, un souci ?
— Pas vraiment, mais il faut quand même que je fasse attention…
— Ah bon ? Attention à quoi ?

Les deux mains agrippées sur le volant, j’ouvre de grands yeux quand elle m’annonce placidement :

— Au rosebud…
— Au… tu as mis un rosebud pour aller au restau ?
— Et pourquoi pas ? Je sens que ça va beaucoup m’amuser de savoir que tu sais ce que j’ai dans mon petit trou du cul ! D’ailleurs, ça commence déjà : tu as un sacré chapiteau !
— Si tu n’étais pas la mère de mes enfants, je dirais bien que tu es une sacrée salope !
— Oh, tu sais, l’un n’empêche pas l’autre !

Et c’est sur ces bonnes paroles que nous sommes partis au restau. Inutile de dire que je n’avais qu’une seule hâte : revenir pour profiter de ma femme, webcam ou pas webcam !

Je ne ...

... vais pas vous raconter en détail ce que nous avons fait au restaurant. Mais j’ai quand même réussi à caresser les fesses de ma femme puis à débusquer sous mes doigts, mais hélas par-dessus le tissu, le disque extérieur de son rosebud. Je dois reconnaitre que ce fut la fête dans mon pantalon !

J’aurais préféré glisser ma main sous sa robe, mais c’était difficile d’y parvenir. Ma femme s’est moquée gentiment de moi. Elle adore jouer de temps à autre les garces, et moi je réagis au quart de tour. Malgré les enfants qui ne nous facilitent pas toujours la tâche au quotidien, nous sommes restés assez « jeunes mariés ».

À peine sommes-nous dehors que je ne peux m’empêcher de caresser impudiquement le cul de ma femme, et surtout ce qu’elle a entre les fesses. Elle s’en offusque faussement :

— T’es qu’un gros obsédé, un gros porc !
— Il fallait rien me dire !
— Eh bien non ! J’espère que t’as bien bandé de savoir que j’ai mon trou du cul bien rempli et que ce n’était pas par ta bite !
— T’es une sacrée salope dans ton genre !
— Tu te répètes ; tu devrais changer un peu de mots ; il y a pourtant plein de synonymes, non ?
— Tu as raison, je vais me faire une petite liste que j’apprendrai par cœur !

Puis nous revenons à la maison. N’y tenant plus, une fois arrivé dans le couloir, je soulève sa robe pour mettre à nu son mignon petit cul. J’ai alors le plaisir d’admirer l’œil rouge d’un rosebud bien calé dans les profondeurs intimes de ma femme ! Puis je plaque deux énormes ...