L'esclavage de Juliette Ch. 05 - Histoires de Sexe

L'esclavage de Juliette Ch. 05

... vient la boisson que tu as eue, j'aimerais que tu m'en offres. Est-ce que tu en as donné à Annie?

— Oui monsieur.

— Combien de la boisson tes filles t'ont-elles donné?

— Elles m'ont donné une petite bouteille que j'ai partagée comme elles me l'ont demandé. J'avais cinq verres.

— Est-ce qu'il t'en reste?

— Non. Je suis désolé, monsieur. Je vais contacter mes filles pour leur en demander plus. »

Je sortais déjà de mon bureau. Quand je suis entré dans la réception, j'ai surpris Annie qui se caressait les jambes bien écartées. Je vois son verre vide. Elle me regarde dans les yeux et se pince un sein. C'est surréel. Je voudrais l'embrasser pour gouter un peu plus le liquide, mais je m'enfuis de mon propre bureau.

***

En auto en direction de chez mon client je tente de contacter Elizabeth. Je ne peux que lui laisser un message vocal.

***

En pleine rencontre, je sens mon téléphone vibrer. Le numéro d'Elizabeth est sur l'écran. Je m'excuse feignant une urgence familiale.

« Bonjour Elizabeth. J'aimerais te rencontrer. Rapidement aujourd'hui. J'aimerais avoir un peu plus de la crème que tu as offerte à Juliette.

— Je vais t'attendre à 17 h chez toi et je vais avoir ce que tu désires. N'aie pas de crainte. »

Elle m'a répondu froidement et rapidement. Je suis retourné à la rencontre continuellement déconcentrée à la pensée de Juliette et de la crème.

***

J'arrive à 17 h à l'appartement. Quand les portes de l'ascenseur s'ouvrent, je suis ...

... accueilli par Elizabeth.

« Bonjour Will, donne-moi ton téléphone et la carte de la chambre de Juliette. »

Je ne réfléchis même pas avant de lui remettre ce qu'elle me demande.

« Vient Will, ce que tu veux est dans la chambre de Juliette.

— Juliette n'est pas là?

— Elle revient tantôt avec une belle surprise. Viens. »

Liz me pointe vers la chambre et m'y guide. Elle ouvre la porte avec ma carte puis me pointe vers la salle d'eau au fond de la pièce.

« Tu trouveras ce que tu cherches dans le lavabo. »

Sans dire un mot de plus je me dirige vers la salle d'eau. Je m'arrête à mi-chemin en entendant le clic de la porte qui se referme. Je réalise que je suis prisonnier de la chambre, mais ma priorité est toujours ce qui est dans le lavabo où je me dirige prestement. J'y trouve un petit plat de verre qui repose sur un lit de glace. Il y a quelques gouttes du précieux liquide dans le fond.

J'ai un moment de désespoir. Je lèche avidement le plat. Je sens l'effet de la crème dans ma bouche et mon cerveau être stimulé. Je sens ma queue se raidir un instant. Puis plus rien.

Je sais que crier ne me sert à rien. Je fouille un peu, mais rapidement je réalise que je ne trouverai rien de particulier ici. Servilement, je vais m'étendre dans le lit. Je retire le veston de mon complet, mes souliers et ma cravate.

***

Après des heures, j'entends le clic de la porte. Un homme tatoué est dans le cadre de la porte. Il a un gros sac noir dans la main. Dès qu'il est entré, ...