Une vie idéale dans la journée de moi-même
Datte: 28/03/2020,
Catégories:
fh,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
fantastiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... bord, sa tige collée à son ventre rond, afin qu’elle sente bien son désir, cette tige qui ira bientôt en elle et qu’elle accueillera dans son intimité. Leurs bouches voraces ne se lassent pas du goût de leurs lèvres, du sucré de leurs langues.
Plaquée sur une toison détrempée, elle griffe le dos large de celui qui la désire. Ses doigts glissent le long d’une vaste plaine de chair mouillée.
Ils s’offrent, se prennent, s’exigent. Ils s’oublient et se font l’amour sans retenue, primitivement, comme si rien d’autre n’existait ou n’existera.
Excité, il lui soulève une jambe d’une main exigeante, s’abaisse un peu afin de bien se positionner. Son gland cogne vite à l’entrée convoitée. Sans préambule, il donne un coup de reins, sa tige heurte l’orée du sexe sans toutefois y pénétrer. Elle riposte en le griffant un peu plus, pour bien lui faire comprendre qu’il n’est pas le seul maître à bord. Il soulève plus encore sa jambe, lui colle le dos au carrelage puis force à nouveau le passage. Ripant lamentablement, le gourdin s’égare entre les cuisses, visant le vide et surtout le bord de la piscine. Riant sous cape, elle lui saisit la tige, la positionne correctement. Un peu vexé, il donne un bon coup de reins et le pieu plonge dans le bosquet détrempé, entre les lèvres accueillantes. Il pousse un petit râle de victoire, elle lui répond par un soupir.
La sensation est étrange, dans ce milieu aqueux, une sorte de succion se fait ressentir, c’est inaccoutumé mais excitant. Il ...
... la pistonne fermement, bien décidé à rattraper ses errements et aussi quelque part à se venger bassement en lui faisant sentir qui est du bon côté du manche. Elle accompagne chaque va-et-vient d’un mouvement ample de bassin, la tige coulissant sans effort malgré l’élément liquide dans lequel ils baignent tous les deux.
Il abandonne sa bouche pour se perdre dans son cou, lui mordille tendrement l’oreille, lui suce voracement le lobe, embrasse fougueusement la ligne fine du cou jusqu’à l’épaule. Les yeux fermés, le visage pointé vers le ciel, elle subit tout en soupirant. Une main s’empare de sa fesse, une autre d’un sein, des doigts qui malaxent les chairs molles et délicates sans retenue.
Elle s’empare alors comme elle peut du cul ferme de son tortionnaire pour se planter encore plus sur le pieu qui la pistonne férocement. Les coups de reins s’accélèrent, les mouvements de bassin aussi, ils halètent ; il sent sa jouissance tout au bout, prête à bondir, elle sent les contractions ondulantes arriver. Son clitoris frotté, imbibé d’eau chlorée la tourmente, vrille. Elle jette encore plus la tête en arrière, il s’enfonce encore plus dans son cou, lui dévorant avidement ce qu’elle lui offre.
Un cri bref, un râle prolongé, elle jouit, son corps parcouru de frémissements incontrôlables. Devant son orgasme, il explose à son tour, vidant, sans retenue, une déferlante de sperme dans l’antre chaud et humide qui l’accueille et le boit.
Peu après, ils sont enlacés, couchés sur ...