15 juin - 21 juin
Datte: 28/03/2020,
Catégories:
f,
fh,
fffh,
hplusag,
fplusag,
Collègues / Travail
jardin,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
fgode,
préservati,
Humour
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... dos. Elle est maintenant assise sur moi, m’accueillant toujours profondément en elle. Sa poitrine est toujours à portée de main. Aussi je ne me prive pas de continuer à avoir les doigts crochus. Cela ne m’empêche pas de donner des coups de reins. À chacun de ceux-ci elle ouvre la bouche comme un poisson hors de son bocal. Mais, contrairement à lui, ce n’est pas parce qu’elle est hors de son élément. Je vois sur son visage et sens aux ondulations de ses hanches et aux contractions de son vagin qu’elle va bientôt reprendre son pied. Avec un cri plus aigu et plus prolongé que le précédent, elle confirme que j’avais vu juste. Entre parenthèses, toute la maison a dû profiter de cette manifestation. Elle éloigne mes mains de ses seins en murmurant :
— Arrête, je n’en peux plus.
Elle se dégage de mon pieu toujours fiché en elle pour reprendre son souffle. Elle le regarde toujours dressé :
— Le pauvre, je ne peux pas le laisser ainsi…
Avec abnégation, oubliant sa fatigue, elle retire la capote qui le garnissait et entreprend une fellation dans les règles de l’art. Étant déjà au bord de l’explosion, je ne résiste pas longtemps. Je me vide dans sa bouche. Elle me dit, une fois avalé ce qui aurait pu l’empêcher de parler :
— Je suis bonne pour aller reprendre une douche.
Je lui susurre à l’oreille :
— Il n’y a pas que pour aller reprendre une douche que tu es bonne. Et je vais en prendre une, moi aussi.
Une fois tous deux debout, elle se tourne vers moi :
— ...
... Si je suis bonne, c’est parce que grâce à toi je renais.
Elle se suspend à mon cou et nous échangeons un long baiser. Un moment interrompu, il reprend tandis que l’eau ruisselle sur nos corps enlacés. Une fois le lit rejoint, le sommeil nous emporte rapidement.
Il est 9 h 30 passés quand je me réveille. Anne dort encore du sommeil du juste. Je me lève discrètement. Les sœurs sont déjà debout, mais encore en chemise de nuit. Il faut dire que leur nuit a été moins mouvementée. Après les avoir embrassées, nous préparons le petit déjeuner. Tandis que Dominique s’active dans la cuisine, en commençant par nourrir mon fauve affamé, Gwendoline et moi amenons sur la table beurre, confiture, miel, pain, tasses et couverts. En mettant la table elle me glisse :
— Tu m’aides à mettre ma culotte ?
Cette demande me laisse un moment perplexe, avant que je réalise qu’elle ne parle pas de n’importe quelle culotte, mais de « la culotte ».
— Je suis au service de Mademoiselle, répondis-je, très serviteur zélé, avant d’ajouter un « File dans la salle de bains, je te rejoins dans cinq minutes », nettement moins classe, surtout ponctué d’une petite claque sur les fesses.
Elle ne se formalise pas de ces privautés et obtempère avec célérité. Je finis de dresser la table. Comme je passe dans la cuisine pour chercher les deux ou trois babioles qui manquent à l’appel, Dominique s’accroche à mon cou, plaque ses lèvres contre les miennes et lance sa langue dans une exploration… Hum. Ne ...