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Souvenirs d'un queutard (3)
Datte: 01/04/2018, Catégories: Erotique, Auteur: celestin999, Source: Xstory
... fourrure frisée. Tout en lui roulant une pelle je glissais ma main entre ses cuisses ; allant au-devant de ma caresse elle écarta sa cuisse droite en posant son pied sur le tableau de bord. Les poils sur les bords de sa fente étaient déjà mouillés. Je me dépêchais de descendre mon pantalon et mon slip,m’installant entre ses cuisses. Elle posa son pied gauche aussi sur le tableau de bord, cuisses largement écartées, totalement offerte. Saisissant de ma queue raide elle me guida dans sa vulve sans autre forme. Je m’enfonçais en elle bien décidé à profiter de cette jeune chatte accueillante qui devait avoir déjà eu quelques bites lui faire visite. Cela faisait peut être un peu plus d’une dizaine de coups de queue que je lui donnais quand, les bras autour de mon cou elle me serra contre elle en poussant un long gémissement : — Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!! Je m’arrêtais de suite — Je t’ai fait mal ? — Non continue Pauline venait de jouir ; un peu décontenancé mais toujours en érection je repris mes mouvements et jouissais à mon tour. Pendant juillet et aout nous avons fait l’amour pratiquement tous les jours, sauf en période d’indisponibilité où Pauline me taillait des pipes fantastiques me ...
... vidant jusqu’à la moelle. Je n’ai jamais connu une femme qui avait un tel don pour sucer et donner du plaisir avec sa bouche. On dit que les femmes sont plus longues à jouir, Pauline c’était le contraire, je n’ai jamais rencontré de femme qui jouissait aussi vite et de façon aussi fulgurante. Au maximum une vingtaine de va-et-vient, elle jouissait, me serrait contre elle et me faisait plein de petits bisous et je me vidais à mon tour. En prenant mon temps j’arrivais à la faire jouir 2 fois de suite. Fin aout alors que nous venions de faire l’amour et que j’étais encore planté en elle : — Pourquoi est-ce que je jouis comme ça avec toi et pas avec lui ? Pauline m’apprenait qu’elle avait un copain qu’elle retrouvait tous les week-ends avec qui elle avait moins de plaisir et jouissait moins fort qu’avec moi. L’année suivante Pauline est revenue travailler à l’agence, nous avons repris là où nous en étions restés, nous avons baisé presque tous les jours de juillet à fin août. Une quinzaine d’années plus tard, j’avais changé de résidence et me rendais chez mon médecin ; dans la salle d’attente je tombais sur Pauline et sa mère. Nous avions le même médecin, Pauline eut le rouge aux joues, elle était mariée et avait deux enfants.