À toute chose malheur est bon !
Datte: 28/03/2020,
Catégories:
fh,
grp,
couple,
uniforme,
fépilée,
noculotte,
Oral
préservati,
double,
fsodo,
Partouze / Groupe
fouetfesse,
extraconj,
bourge,
Auteur: Propilot, Source: Revebebe
... malléable à souhait. Une fois fait dans les règles de l’art, car c’en est un, le plaisir intense que procure la sodomie est partagé par les deux partenaires. Qu’en pensez-vous ma chère ? demanda-t-il à son épouse.
— Je préfère laisser Clotilde répondre. Elle est intéressée au premier chef et je sais qu’elle a les mêmes vues que moi sur le sujet.
En tournant la tête dans ma direction, Clotilde confirma avec enthousiasme.
— C’est vrai ! La jouissance que me procure la sodomie est d’une intensité que je ne peux pas vous décrire. C’est pour moi le summum dans l’acte sexuel.
— Je caresse l’espoir que vous n’êtes pas contrainte ?
— Oh non Monsieur ! J’ai demandé à rester auprès de Monsieur et de Madame. Je n’ai jamais pris autant de plaisir que depuis que je suis à leur service.
Georges entra dans la pièce avec une boîte de cigares.
— Et vous Georges ? lui demandai-je.
— Quel est la question, Monsieur ?
— Sans vouloir être indiscret, pourquoi restez-vous au service de Pierre et de Corinne ?
Après avoir posé la boîte sur la table basse, Georges se redressa et répondit fièrement :
— Parce qu’ici, Monsieur, il n’y a aucun tabou et les plaisirs de la chair planent en permanence dans cette maison. Notre passage sur cette terre est suffisamment court, trop court même, pour ne pas profiter du plaisir dont nous font profiter Madame et Monsieur. Je suis ici au paradis des sens.
Je comprenais mieux pourquoi cette première escale fut pour Georges le terminus de ...
... son tour du monde. Je sentais Corinne électrisée par ma chemise d’uniforme et par mes galons. Elle était collée à moi et après m’avoir presque totalement déboutonné, elle caressait mon torse.
— Quoi que vous puissiez en dire, votre uniforme et vos galons ont sur moi un pouvoir érotique qui échauffe mes sens.
— Ne vous laissez pas faire Jean ! me lança Pierre. Faites montre d’autorité avec elle. Elle a besoin d’une bonne fessée pour lui rappeler qui est le maître. Elle adore ça de surcroît, n’est-ce pas ma chère ?
Sans prendre la peine de répondre à son mari, Corinne s’allongea sur mes genoux tout en m’encourageant.
— Excellente idée ! Donnez-moi donc une bonne fessée. Je la mérite pour vous avoir agacé avec votre uniforme.
Je me retrouvai avec une femme magnifique, offerte et volontaire, prête à recevoir une fessée qu’elle prétendait mériter et qui pour moi était bien une première. Elle était cambrée et je la sentais se trémousser dans l’attente de sa punition. Je posai timidement ma main sur ses chevilles et, lentement, je remontai ses jambes en suivant la couture de ses bas de soie. Lorsque ma main arriva au bas de ses fesses, je constatai qu’elle avait adopté la même tenue que Clotilde.
En relevant sa robe sur sa taille, je découvris une magnifique paire de fesses blanches ; fesses bien formées sur lesquelles reposaient seulement le porte-jarretelles noir qui accentuait le contraste de la blancheur de sa peau. Elle écarta suffisamment ses jambes pour me ...