Papa, moi... et mon fils (2) - Histoires de Sexe

Papa, moi... et mon fils (2)

Encore trop excité par ce qui vient de se passer avec mon père, j’ai du mal à m’endormir car j’ai en tête la vision du sexe de papa lorsque que j’étais à genoux devant lui. Sa bite épaisse et veinée avec son gros gland recouvert de sperme qui sort de son méat grand ouvert. J’en ai des frissons dans mes couilles mais je me retiens pour ne pas me branler. Au lieu de me brosser les dents comme chaque soir, je me suis couché avec la saveur du sperme de papa dans ma bouche.

Le lendemain matin en sortant de ma chambre, je reste figé sur place. À la télé, un gars baise une fille par derrière contre le mur. À chaque coup de bite, on peut les entendre gémir et grogner alors que ses couilles claquent sur son cul de manière audible.

Papa est tout nu sur le canapé déplié. Sa queue est en érection, il la tient à sa base avec son gland posé contre son ventre déjà mouillé par du pré sperme.

Malgré moi, ma bite commence à bander.

— Qu’est-ce qui t’excite comme ça ? Tu aimes regarder les filles se faire baiser ou... tu préfèrerais être à sa place ?

Je regarde la télévision en lui tournant le dos et lorsque je me retourne, je vois dans ses yeux le même regard pervers que hier soir mais c’est mon petit cul de jeunot qu’il regardait. D’une main il soulève ses grosses couilles pleines de foutre après une bonne nuit et me dit.

— Je sens qu’on va passer une bonne journée fiston. Si tu venais me lécher un peu mes couilles.

Ses yeux dans les miens il me défie de dire non. Il se ...

... glisse sur le bord du lit et pose ses pieds sur le sol

Je m’approche, je me mets à genoux entre ses jambes, et j’ai de nouveau devant moi le sujet de mes fantasmes et de mes peurs, en imaginant qu’ils se réalisent.

— Allez, vas-y. Lèche mes couilles. Fais leurs une toilette matinale.

En me penchant vers ses bourses je sens cette odeur musquée, acre, mais pas désagréable. Si vous avez déjà caressé vos couilles et votre sexe, vous en connaissez l’odeur. Moi elle m’excite.

Le sexe de papa n’est pas la seule chose qu’il a de gros. Ses couilles sont toutes aussi impressionnantes. Je pose le bout de ma langue sur son testicule droit et Papa gémit. Je passe ma langue du bas de ses couilles à la base de sa queue et il gémit plus fort

Il se penche en arrière, laissant sa queue frapper son ventre et d’une main il soulève ses bourses vers moi. Je commence à lécher ses couilles comme deux délicieuses boules de glace car papa se rase et elles sont dépourvues de poils.

— C’est bien, tu es une petite salope obéissante. Gobe mes boules maintenant.

Papa lâche son scrotum et se laisse tomber en arrière sur le dos.

Je déplace ma bouche vers sa couille gauche, je l’aspire dans ma bouche en passant ma langue sur sa fine peau pendant que je la roule dans ma bouche.

La vache ! Elles sont grosses ! Je suce chacune de ses couilles à tour de rôle et je suis heureux d’entendre ses gémissements. Je lui procure du plaisir.

— Arrête ! Tu serais capable de me faire jouir trop ...