Marie - Ange & Démon (17)
Datte: 27/03/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... Fred ? Attends je vais mettre un peignoir.
J’entends son rire derrière la porte. Il a raison de se moquer. M’habiller pour lui alors qu’il n’a toujours eu de cesse de me montrer nue ou pire, habillée en pute pour exciter. Mais, avec mon gros ventre, les choses sont différentes.
J’ouvre. Il entre. Il porte une valise. Il me regarde.
— Oh! Oh! En effet.
Il dit en m’examinant.
— Tu vois ce que je suis devenue. À six mois ! J’ai déjà un ventre énorme. Je vais mettre un peignoir.
— Mais non, reste. Tu es très belle.
— Tu te moques.
— Pas du tout. Tu ne m’embrasses pas.
Petit baiser avec mon ventre qui sert de repoussoir.
— Je viens m’installer chez toi pendant l’absence de Marc.
— Ah ! Marc est au courant.
— Bien sûr que non. C’est juste entre toi et moi. Je me suis dit qu’avec ta fringale de cul tu avais besoin d’un homme à la maison.
— Mais j’avais promis à Marc de …
— Et alors, moi ça ne compte pas. Je viens lui rendre service et si j’ai bien compris vous roucoulez alors que tu as besoin de plus.
— C’est vrai.
— Il est temps que je reprenne les choses en main. Tu as déjà oublié les bonnes manières.
En parlant, Fred défait la ceinture de son pantalon. Évidemment je comprends et commence à l’aider. Il enlève le haut. Je lui enlève le bas. Il est nu et dès que ma main caresse son sexe il se tend.
— Tu vois, ton gros ventre m’excite. Qu’est-ce ça va être quand tu seras grosse de neuf mois. Allons dans le salon ce sera plus ...
... confortable.
Il me guide. Il me fait mettre à genou sur le canapé. Lui en fait le tour. Son sexe m’attend. L’assise est moelleuse, le dossier me sert d’appui et en avançant mon visage je retrouve celle qui m’a tant fait jouir. Elle termine sa croissance entre mes lèvres. Je retrouve toutes ces sensations. Non pas qu’avec Marc je n’ai pas de plaisir, mais avec Fred c’est le fruit défendu et aussi le souvenir de tout ce qu’il m’a fait faire me conduisant dans la stratosphère des plaisirs pervers et même limite si je pense à ces chiens qui s’étaient figés en moi, attachés comme une chienne avec son mâle.
— Bouffe mes couilles.
Il soulève sa bitte, s’approche. Je les lèche, peau si délicate et si douce, gobe chacune d’entre elles, les baignant dans un lac de salive.
— Pompe-moi.
La queue redescend. Je m’évertue à le gober au mieux. Je crache comme une pute pour exciter son client.
— Caresse-toi.
Ma main trouve mon clitoris. Elle le connaît si bien.
Fred apprécie. Mais il se saisit de ma tête entre ses mains et m’enfonce son pieu jusqu’à ma glotte. Je tousse, je crache, je pleure, mais rien n’y fait. Le Maître est de retour. Il m’a baisé la gorge. En une seconde, je suis redevenue sa chienne, chienne qu’il partageait. Ma bouche résonne de bruits si caractéristiques, gargarisme de salive brassée par un mandrin de chair.
Longuement il me prend ainsi. De temps en temps lorsqu’il voit que je m’étouffe de ma propre salive il tempère sa baise et je libère des flots ...