Réveillon, cotillons, etc...
Datte: 27/03/2020,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... sexologue ajoute que nous pouvons déclencher un orgasme et que nos corps réagissent avec notre cerveau.
Se libérer est primordial, partager l’est aussi…
Si la sodomie était pratiquée par peu de femmes à mon époque, bridées par des morales religieuses, certaines ont réagi en franchissant la ligne durant leur vie sexuelle…
Elles peuvent ainsi ne plus être rivées à leurs principes et se retrouver au même niveau de liberté que les jeunes femmes de notre époque. De plus, elles sont souvent plus dirigistes, activant directement les parties de leur corps qu’elles veulent performer...
Quand on a envie de baiser, on y va tout droit et on prend la direction des opérations, sans chichis et sans honte, baiser est devenu un acte courant, faisant partie de la vie…
Adieu les principes de l’amour, plus besoin de ressentir une onde magique pour ouvrir nos cuisses, juste un picotement dans notre ventre suffit à mettre le feu aux poudres… Même que parfois la volonté porale se trouve en avance sur le corps... Mais il suit rapidement...
Mon esprit s’évade…
J’imagine ce sexe grandiose, tendu comme un arc, aux veines bleutées gorgées de sang frais, ce sexe au gland attirant, comme une fleur pour l’abeille et qui nous incite à approcher nos lèvres, et déclencher en nous un mécanisme vieux comme le monde…
Saliver ce gland est un plaisir merveilleux, le prendre dans sa main, puis dans sa bouche, sentir sa chaleur, lorsqu’il glisse entre nos lèvres et aller au bout de cette ...
... hampe, si on le peut…
Parfois, la nature donne à certains hommes, un membre dont la taille ne permet pas une fellation classique, alors on va petit à petit, pour préparer l’acte d’amour afin de ne pas en souffrir, saliver en esprit et en réel, jusqu’à s’ouvrir comme une fleur butinée par le colibri…
Je ressens ses allers-retours, la verge qui me remplit, la douceur de ce coït, mon ventre qui s’emballe, mes cuisses qui s’ouvrent, mes râles de plaisir, je me contorsionne pour mieux le ressentir, il est planté, raide, énorme, jusqu’au fond de mon vagin, touchant l’utérus…
J’ouvre les yeux en ressentant sa semence, c'est le nirvana…
Cette extase suprême, ponctuée de cris et de râles, qui nous emporte et nous fait femme…
Le silence me répond, le plafond me regarde, je me mets à pleurer de rage… Je balance ce maudit magazine à travers la pièce…
Il a laissé la voiture, a glissé un papier sous l’essuie-glace et a marqué « A demain »…
Je dors mal, mes rêves sont malsains, Sylvette me crie dessus, me traite de catin, de névrosée, de cougar décrépi…
Je prends un bain, tôt, plus tôt que d’habitude, je me fais un café fort, puis je descends jusqu’à la boulangerie…
Baguettes, croissants, pains au chocolat, et remonte en chantant…
Il arrive vers 10 heures, j’ouvre la porte d’entrée…
Il pose sur la table un sachet de croissants et de mignonnettes…
On déjeune tous les deux dans la cuisine, face à face…
Ses yeux me parlent, ils disent que Sylvette me ...