Cheat-Code - LvL 16: Trap
Datte: 27/03/2020,
Catégories:
Contrôle Mental,
Auteur: byBen_Clover, Source: Literotica
... blonde, je lui adressai mon plus beau sourire avant d'ajouter :
— Vous n'avez qu'à vérifier.
Je me tournai vers ma patronne qui cambrait toujours ses superbes fesses dans ma direction. Puis, tout en m'excusant mentalement pour ce que je m'apprêtais à faire, je soulevai d'un coup sec son tailleur pour en révéler la glorieuse indécence.
— Whoâ nice, commenta le brun. Ça mériterait une photo souvenir.
— Bordel, grinça la blonde en détournant le regard comme je l'avais anticipé. Je suis vraiment entouré de dépravés. Qu'est-ce que c'est censé prouver?
Je brûlais un cierge pour mon postérieur, et bondit! J'agrippai les jambes du brun toujours posées sur le bureau, et tirai d'un coup sec. Il poussa un glapissement lorsque cette manœuvre le fit s'effondrer de la chaise. Ça lui apprendra à ne pas écouter sa mère et mettre les pieds sur la table.
Je poursuivis ma course vers la porte gardée par la blonde. Une lueur féroce brilla dans son regard lorsqu'elle me vit la charger. Regard qui se changea en choc quand je balayai l'air de mon bras et actionnait le taser. L'appareil crépitant la percuta au niveau des mains. Tout son corps s'arqua. Je peaufinai ma manœuvre en l'envoyant valdinguer en arrière d'un coup d'épaule qui déclencha une lame de douleur vive dans mon bras. Avant même qu'elle n'ait percuté le sol, je l'enjambais, et piquait un méga sprint, puisant dans ma certitude que, s'ils me chopaient, c'en était fini de l'Interface.
À cet instant, le silence ...
... oppressant explosa en un millier de bruits. L'assourdissant brouhaha des conversations. Le lancinant ronronnement des moteurs de voitures. L'omniprésent chuintement des climatisations. Les hurlements de panique de ma patronne. Autant de shrapnels sonores qui me déchirèrent les oreilles
Malgré le choc, je pressais encore plus le pas. Cette impression soudaine d'anarchie devait également affecter mes poursuivants, et donc faciliter ma fuite. Autant en profiter.
Je zigzaguais entre les bureaux. Il fallait que je rejoigne le rez-de-chaussée, puis la rue! Une fois dans la foule, temps arrêté ou pas, les chourraveurs d'Artefacts auraient bien plus de mal à me retrouver. Du moins, je l'espérai. Et puis, lorsque je me serais débarrassé d'eux, je n'aurais plus alors qu'a retourner au bar de Mélissa. La goth saurait surement comment m'aider!
Mon collègue Paul écarquilla grand les yeux quand je manquai de le percuter pour me ruer dans les escaliers. Le reste de mes collègues était tout aussi ébahi. Forcément, je devais avoir l'air d'un malade à courir comme si j'avais un piranha accroché au postérieur. Et puis, entre ma patronne vue par la moitié de l'étage les fesses à l'air, et moi qui échappait de son bureau en panique, les rumeurs à mon égard promettaient de prendre des proportions épiques.
Peu importait. Je risquais bien plus gros qu'une réputation de queutard déglingué de la tête.
Je déboulai dans le hall d'accueil. De l'autre côté des portes automatiques, Sandra et son ...