1. La bourgeoise et le marabout (28)


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... des mâles. Secouée par un nouvel orgasme, je crie :
    
    — Oui, c’est bon. Je suis une salope, profitez de moi.
    
    — Allez-y, tous mes orifices sont à vous. Je vous veux partout.
    
    — Oh, Tony, regarde ce que tu as fait de moi.
    
    — Ouiiiiii, plus fort, je jouiiiiiiis !
    
    Celui qui me baise se vide en moi en me traitant de tous les noms puis disparaît à peine a-t-il rengainé sa queue.
    
    Je retire le sexe du black de ma bouche, me redresse puis me colle à lui pour lui donner mes lèvres. Il se plaque tout contre moi, je devine son corps musclé tout contre la pointe érigée des seins.
    
    Tandis que sa bouche descend pour bien me mordiller les tétons, l’une de ses mains se glisse entre mes jambes et vient me caresser la chatte. Il recueille le foutre qui s’en échappe sur ses doigts puis m’en enduit le cul. Son index se glisse dans mon fondement et il commence un léger va-et-vient. Je comprends vite de quoi il a envie.
    
    Je me retourne et lui dis d’une voix suave de femelle bien docile :
    
    — Oui, viens me prendre ! Encule-moi bien avec ta belle queue de black !
    
    Il se colle contre mon dos et prend un malin plaisir à me faire languir. Ses deux mains malaxent mes seins tandis que son gland bat entre mes fesses. Il me dit :
    
    — Tu es comme toutes les bourgeoises, tu aimes les belles queues blacks. Quand je vais t’avoir bien baisée, tu ne voudras pas d’autres queues que la mienne et celles de mes copains.
    
    Je lui dis dans un gémissement de chienne en chaleur :
    
    — Oui, je ...
    ... serai ta petite salope. Mais prends-moi vite, je veux ta queue !
    
    Avec lenteur, il introduit son gland dans mon petit cul bien serré. Son grand champignon violacé me distend les chairs, mais, petit à petit, son énorme pieu de chair pénètre en moi. Lorsqu’il est bien calé au fond de moi, il fait une petite pause pour que je m’habitue à cette intrusion bestiale.
    
    Dès qu’il commence à me besogner, la douleur initiale fait petit à petit place à une douce chaleur. Lorsqu’il accélère la cadence, j’ai le cul en feu et je lui tends mes fesses pour qu’il les investisse pleinement. Ces instants d’extase sexuelle me rappellent quelques séances bien torrides avec mon marabout et son assistant. Je me rends compte que, même si j’ai souvent tendance par confort à privilégier les queues longues et fines, j’ai régulièrement besoin d’être prise de partout par de grosses et épaisses queues qui m’ouvrent en deux, me fendent le corps et me font souvent crier de douleur au début de l’accouplement. Mais une fois bien ouverte, quel bonheur d’être ainsi possédée, quel plaisir d’être ainsi remplie, quel orgasme d’être ainsi fécondée.
    
    Mais voici que mon étalon black se retire de mon cul et que son sperme se répand partout sur mes fesses. Il disparaît aussi vite que le premier et c’est au bras de Tony que je sors du ciné une fois que je me suis arrangée un peu pour rentrer chez moi. Dans la rue, la température a largement baissé et c’est supportable. En moi, la température a également baissé de ...