Je remplace ma collègue Sophie (1) - Histoires de Sexe

Je remplace ma collègue Sophie (1)

Salut c’est votre folle de lycra

J’avais commencé à bosser dans ce cabinet d’assurance en septembre, après m’être fait les dents plusieurs années, dans la bancassurance au sein d’une grande enseigne dans la distribution. J’étais fraîchement marié à Marie, superbe métisse de plus d’un mètre quatre vingts, elle me mettait quelque centimètres dans la vue mais cela ne dérangeait pas. J’adorais son côté dominatrice directive et autoritaire, en quelques années elle avait développé mon côté soumis. Du haut de mon mètre quatre vingt, je n’étais pas un gringalet, mais en même temps, pas un modèle de virilité. Du haut de son mètre soixante treize, Sophie ma collègue, d’une quinzaine d’années mon aînée, était une très jolie femme surtout très compétente mais surtout très complice avec notre patron Gilles. Ce dernier me dominait d’une bonne dizaine de centimètres, il avait facilement l’âge de mes parents, ses cheveux poivre et sel lui donnaient un côté très rassurant. Il avait aussi une réputation de faire l’amour à toutes les femmes qu’il croisait, bien évidemment Sophie passait à la casserole régulièrement pour son plus grand plaisir.

Sophie et moi travaillions dans un grand open space, quant à notre patron il avait un bureau à lui et un studio y était accolé. Je savais pertinemment que cette petite dépendance lui servait de garçonnière, Sophie connaissait les yeux parfaitement et il lui arrivait même d’aller y faire un peu de nettoyage, en plus d’y rendre service à son ...

... patron. En l’absence de mon patron, il m’était arrivé de m’y rendre à plusieurs reprises par curiosité et il n’y avait pas à dire cela avait tout d’un baisodrome. L’ambiance était très sympa au sein de l’agence, nous faisions une bouffe en fin d’année ainsi qu’un repas avant les grande vacances. À ces occasions nous nous retrouvions à six, il y avait Muriel la femme de Gilles, une grande et belle femme, Claude le mari de Sophie était un homme timide et effacé. C’est vrai que les deux fois où nous nous sommes retrouvés, Gilles était au cœur de l’Assemblée; Sophie Muriel et Marie avaient l’air complices mais surtout béates d’admiration devant notre patron. Ma collègue m’avait appris que Gilles et sa femme traînaient dans des boîtes échangistes, ceci expliquait la façon dont Muriel regardait ses hôtes lors de nos repas.

Sans vraiment se cacher, le proprio venait masser les épaules de Sophie pendant les heures de boulot et cette dernière se laissait faire, on avait l’impression qu’elle y prenait plaisir. Je savais aussi que ma collègue, elle ne s’en cachait pas, que Gilles l’invitait dans sa Garçonnière au moins une à deux fois par semaine à l’heure du repas. En presque neuf mois d’ancienneté, ma collègue me confessait des choses très intimes au sujet de notre patron; ce dernier était très bien pourvu et il adorait attacher ses partenaires. Il faut que je vous avoue que de mon côté, Marie avait imposé sa domination sur moi en m’imposant de porter ses dessous, et plus encore dans ...