Moi Louise / Itinéraire d'une femme infidèle
Datte: 24/03/2020,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Auteur: leger69, Source: xHamster
Suite à mon aventure collective dans les vestiaires du gymnase, Jean-Phi a démissionné. Impossible de revenir dans l' entreprise où j'avais baisé et sucé plusieurs de ses collègues ! Il a eu néanmoins la délicatesse de ne jamais me tenir rigueur de cette vengeance. Il était bien conscient que s'il ne m'avait pas trompée je ne serais jamais allée voir ailleurs.
Le calme est revenu dans notre couple. Une forme de sérénité même.
Sa nouvelle boite (il n'a jamais manqué de propositions d'embauche) lui plaisait beaucoup, il s'y investissait et notre vie familiale reprit sa douce insouciance.
Sexuellement il n'avait pas à s'en plaindre, j'étais devenue accro à la sodomie. Il pouvait me choper le cul quand il voulait, j'étais toujours ravie. Je suis même devenue depuis ma première fois une bonne éjaculatrice, une vraie femme fontaine ! Le plaisir anal déclenchait ma source par petits jets et j'ai vécu à cette époque avec mon mari des orgasmes délicieux !
J'étais bien, heureuse. Jean-Philippe aussi. Tu parles, une femme qui suce et qui avale, qui jouit sans cesse, fan de sodomie à toute heure, amoureuse, il n'avait vraiment aucune raison de me tromper.
C'est moi qui me trompais encore.
Monsieur avait entamé une liaison buccale avec sa nouvelle secrétaire, décidément ! et se faisait sucer sous le bureau tous les matins par cette jeune femme avide de progression hiérarchique, prête à tout pour monter en grade !
Sauf qu'il ne me l'a pas dit cette fois, craignant ...
... sans doute ma vengeance. Je l'ai appris d'un de ses collègues qui aurait bien voulu me baiser lui aussi et qui cherchait là un moyen de chantage.
L'affront était total.
Ok chéri, tu vas l'avoir ta vengeance ! On dirait même que tu le fais exprès, que tu me donnes le passeport pour aller chercher des bites...
Je n'ai pas dit à mon mari que je savais tout de sa relation. Travaillant à la maison, j'avais beaucoup de temps à moi. J'ai décidé de l'utiliser très librement et en cachette de lui.
Ma première virée de débauche s'est déroulée dans un petit cinéma porno, comme il y en avait à l'époque, et qui ont malheureusement disparu avec l'arrivée d'internet.
Il y avait un quartier chaud dans le Bordeaux un peu glauque des années 80, et je m'y rendais de plus en plus souvent, légèrement vêtue, visitant les sex shop sous le regard intéressé des hommes qui venaient chercher là des belles images. Rares étaient les femmes mariées qui s'aventuraient seules dans ce quartier.
"LES PIPEUSES" était écrit au guichet du petit cinéma x, avec une photo en gros plan d'une bouche bien rouge comme affiche. Séance à 14H30, indiquait le menu du jour.
Il était déjà 15h.
Je prends une place, le vendeur me prévient que je serai la seule femme.
"Il y a beaucoup de spectateurs ?"
"Une quinzaine" me répond-il, "prenez l'escalier qui descend et c'est à droite"
Je descends. Le petit couloir qui mène à la salle est sombre, couvert de tapisserie rouge un peu sale. Mon coeur bat ...