La Croupe et Le Choix - Histoires de Sexe

La Croupe et Le Choix

... m'hypnotisaient par leur rondeur féminine, leur galbe, et ce petit trou au milieu légèrement ambré qui me donnait le vertige.

Je me déshabillai rapidement et l'invitai à faire durcir ma queue dans sa bouche, ce qu'elle fit avec joie et talent... A mon tour, je me mis à la lécher : d'abord son cul, avec des grands coups de langue sur la totalité de ses belles fesses, puis entre ses fesses jusqu'à sa fleur qui coulait d'un jus rafraîchissant. Les parfums de sa peau, le goût de sa mouille faisaient dresser ma queue, fière comme jamais. Astiquée comme il le fallait par la main experte de Kamila qui me prodiguait une caresse incroyable. Et j'avais de plus en plus un trouble à sentir la présence de son anus au dessus de son sexe.

Kamila, bien que chaude comme une braise ardente, qui mouillait follement à me montrer sa chatte et ses fesses, était consciente de mon trouble : « hum chéri tu hésites? Dans quel orifice vas-tu prendre ton pied?! Mes fesses sont fraîches elles aussi en effet! Et il ne me déplairait pas d'être enculee ce soir!!! Jouis dans mon petit trou si tel est ton désir. Je suis à toi complètement, et tu le sais! »

Guidé par ses mots, je passai alors de sa chatte à son anus. Je le léchais avec ardeur, ensorcelé par son goût de piment, tournant ma langue autour, et peu à peu je plantais un doigt, puis deux, dans l'axe étroit de son petit trou. C'était sec au départ mais je sentis rapidement ses muqueuses se détendre et m'inviter ainsi à accélérer le va et ...

... vient de mes doigts dans ses fesses. J'accélérai le rythme, enfonçant mes doigts tout au fond. Kamila réclamait alors mon sexe que je poussais au fond de sa bouche...

Excité, rendu fou par cette vision crépusculaire d'un anus en feu s'ouvrant davantage à chacune de mes incursions, je ne rêvais plus que d'une chose : y plonger corps et âme, mon membre serré dan son cul comme dans une gaine. Je posai mon gland contre cette porte poivrée et maintenant détendue, saisis ses fesses à pleines mains, et poussai lentement ma tige dans l'obscurité. Mon sexe disparut comme dans un trou noir, happé par l'énergie vibrante de Kamila qui couinait, gémissait, et murmurait des mots doux : « baise moi chéri » « encule ta femme » « sodomise ta chérie » « ne m'épargne pas, ne me ménage pas », « mon cul est en feu », « j'aime tes coups de butoir, secs et violents » « je sens mon homme qui m'aime » « je t'appartiens, possède mes fesses »

Kamila était à quatre pattes, très offerte. Je la sodomisais depuis 15 minutes, sans relâche. Son sexe semblait décharger sans cesse, une crème blanche se déversait régulièrement sur ses cuisses ou tombait littéralement sur le parquet. Ses seins libres sous la nuisette se balançaient dans tous les sens. De derrière, je voyais le ventre bombé de Kamila se bomber encore plus quand elle enfonçait sa tête dans un coin du canapé. Presque avachie si ce n'était ses fesses qu'elle levait de plus en plus haut, grâce à une cambrure incroyable, Kamila avait décidé de ...