1. Une plantureuse et experte gymnaste - 4


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bgp, Source: Hds

    Elle saisit à nouveau mes avants bras dans ses mains et força mes bras à passer au dessus de ma tête pour les plaquer fermement sur le lit. Elle avança sur ses genoux qui se trouvaient de part et d’autre de mon corps jusqu’à ce que son sexe se trouve au dessus de ma bouche. Elle abaissa son bassin jusqu’à ce qu’elle sente mes lèvres sur son sexe humide.
    
    — As tu déjà goûté un clitoris ? Sais tu au moins où il se trouve ?
    
    — Non,... et je n’en suis pas sûr.
    
    — Je vais te guider alors. Glisse doucement ta langue sur la partie supérieure de mon sexe, jusqu’à ce que tu trouves un petit bout de chair.
    
    J’obéissais à la géante qui me tenait fermement sur le lit et j’ inserrai le bout de ma langue dans ce sexe encore parfumé du gel douche. Je sentis le fameux bout de chair et la manières dont Maryline augmenta la pression sur mes bras confirma que j’étais au bon endroit.
    
    — Oui, c’est bien. Caresse le du bout de la langue, n’appuie pas trop.
    
    Je m’exécutai du mieux possible et stimulai avec délicatesse le bouton de plaisir de la géante qui sentait déjà les effets de mes caresses dosées. Prenant un peu d’initiative, je faisais parfois glisser ma langue sur ses lèvres. L’amazone répondait parfaitement à mes sollicitations et m’encourageait en gémissant.
    
    — Oui, c’est bien. Surprends moi, c’est que j’aime par dessus tout.
    
    Encouragé par la plantureuse beauté, je laissai ma langue pénétrer plus profondément dans son sexe qui perlait sur mon visage. Elle serrait un peu ...
    ... plus fort mes bras à chacune de mes audaces, et sa respiration devenait de plus en plus rapide. Je commençai cependant sérieusement à ne plus sentir mes mains et il devenait impératif que la géante jouisse pour qu’elle me libère. Je concentrai les caresses de ma langue uniquement sur son clitoris et augmentai la fréquence de mes coups de langues. Il n’en fallut pas plus pour que Maryline jouisse et mouille abondamment mon visage. Elle hurlait de plaisir comme à son habitude et je continuais à la stimuler tant que sa poigne ne se relâchait pas.
    
    — Arrête c’est trop bon, je vais m’évanouir !
    
    Cet ordre fut le bienvenue tant ma langue peu habituée à administrer un tel traitement commençait à fatiguer. Elle relâcha mes membres endoloris, recula un peu sur ses genoux et se coucha sur moi, étalant sa lourde poitrine sur mon torse. J’en profitai pour caresser son dos et laissai mes mains descendre sur ses fesses rondes. Leur peau était douce mais elles étaient si fermes que mes doigts ne pouvaient s’y enfoncer. J’avais l’impression de toucher une statue de bronze recouverte de velours. Pendant que je profitais de ce contact qu’elle semblait apprécier également, elle décolla sa poitrine de mon corps et laissa ses obus pendre au dessus de mon visage pour venir le frôler, puis elle se baissa doucement et enferma ma tête dans une prison de rêve. Je ne voyais plus rien et n’écoutais que son coeur. Ils étaient si lourds et si chauds. Elle se releva et positionna un de ses tétons sur ma ...
«123»