1. Peintre du dimanche


    Datte: 23/03/2020, Catégories: ffh, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, délire, Auteur: Katzou, Source: Revebebe

    Clara m’avait demandé de l’aider, elle repeignait son appartement.
    
    C’était l’été et la période se prêtait bien à ce genre d’activité, les fenêtres pouvaient rester ouvertes sans problème et l’odeur de peinture se dissiperait rapidement.
    
    C’était un été de canicule, la chaleur régnait en maître et exacerbait les sens, donnait des envies de peau nue, de liberté. Les corps se sentaient bien sans rien sur eux ni autour d’eux et l’air chaud les portait plus facilement.
    
    Elle occupait un grand appartement ancien, haut de plafond et superbement éclairé. Elle voulait une touche de modernité.
    
    Clara avait choisi de tout peindre en blanc mat, teinté d’une pointe de gris, une touche de couleur bleue agrémenterait le tout. La peinture était simple et naturelle, écologique, composée d’ingrédients choisis avec soin pour ne pas présenter de danger pour la santé : pas de plomb, pas de solvants et Clara me disait en souriant qu’on aurait pu la boire sans soucis…
    
    Nous devions être plusieurs pour l’aider, un ami à elle et une amie commune.
    
    Je sonnais longtemps à sa porte et étais prêt à repartir quand la porte s’ouvrit enfin sur une Clara surexcitée. L’ami s’était décommandé et nous ne serions que trois, Mia était déjà là. Il faisait une chaleur écrasante, nous étions fin juillet et la canicule installée depuis plusieurs semaines, grillant tout, cuisant tout, nous plongeait dans un four.
    
    Clara s’était mise à son aise et portait un short large et un t-shirt décolleté, sans ...
    ... rien dessous. Elle était belle, blonde et longue, et sa peau bronzée brillait d’une myriade de perles de sueur, diamants fugitifs accrochés aux poils follets qui la couvraient.
    
    Mia était assise sur un tabouret haut, elle aussi vêtue d’un short et d’une brassière courte qui contenait avec peine ses seins ronds.
    
    La chaleur permettait tout, autorisait tout et les yeux, les mains suivaient.
    
    Clara me servit à boire et elle m’expliqua ce qu’elle voulait.
    
    Elles s’installèrent dans le salon et je m’occupai du couloir.
    
    La chaleur était vraiment infernale malgré les courants d’air et les rafraîchissements, mais je tins bon et peignis consciencieusement les murs en blanc cassé.
    
    Je me débarrassai de mon pantalon et de mon t-shirt, restant en caleçon, sans autre vêtement. J’étais seul dans ce grand couloir et ma libido se libéra.
    
    Et puis des rires fusèrent du salon, des rires si communicatifs que je me décidai à aller jeter un œil.
    
    Ce que je vis me cloua sur place.
    
    Clara et Mia s’étaient mises à leur aise, elles n’avaient pas résisté longtemps au plaisir de se débarrasser de tous leurs vêtements.
    
    Clara et Mia étaient nues, toutes deux.
    
    Et Clara riait aux éclats, debout au milieu de la pièce, immobile, les bras levés haut, cambrée, sur la pointe des pieds, les yeux fermés.
    
    Mia, à genoux, passait son rouleau aux longs poils visqueux, enduit de peinture blanche, sur son amie et la peignait en blanc, la transformant en statue.
    
    Elles ne me virent pas tout de ...
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