1. Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 5


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Itacoatiara, Source: Hds

    ... suis sur la bonne voix.
    
    Elle sert ma tête un peu plus fort entre ses jambes.
    
    Je décide de m'enhardir, n'ayant pas perdu de vu ses fesses.
    
    Je descends mes bras vers celles-ci, caresse gentiment les fesses puis approche mon doigt de son anus.
    
    Elle se cabre, "Non, je t'ai dit!" ET elle plaque mes bras sous ses jambes.
    
    Je pourrais me sortir de cette posture, mais finalement, c'est plutôt amusant cette fausse soumission.
    
    Je continue mon ouvrage, son sexe ruisselle, sent bon, me donne envie de la lécher encore plus fort.
    
    Son corps divague, halète, je sens qu'elle va bientôt jouir.
    
    Tout en bloquant mes bras, elle fait glisser son corps vers ma verge.
    
    S'empale dessus. Je peux voir qu'elle se fait clairement plaisir. La baise est douce longue et fluide. J'en profite pour lui lécher les seins à chaque fois qu'ils remontent vers moi.
    
    Soudains, nous sort de notre doux rêve, une voiture au loin.
    
    Elle - "Merde, c'est la cuisinière!!"
    
    "Vite, dans le pool house."
    
    On se précipite dans la petite maisonnette contiguë à la piscine, un ancien box à chevaux avec une porte à double battant, haut, bas.
    
    C'est bien la cuisinière chargée par les parents de Sandrine de s'occuper de notre intendance.
    
    Elle qui avait dit, "Pas besoin, on se débrouille". Qu'il fallait comprendre par "on veut être tranquilles"
    
    Nous reprenons nos ébats, pensant être tranquille, elle s'assoit sur une table de jardin poussiéreuse et me fait signe de la pénétrer.
    
    D'un oeil, ...
    ... je peux voir par une fenêtre, le reste du jardin, au cas où.
    
    Elle me demande d'aller plus fort, "L'autre, a être là, ça m'excite".
    
    La table bouge, se tord, tout comme elle. Je ralentis pour ne pas tout casser " Encore, vas-y, je veux plus".
    
    Moi - "Mais, la table"
    
    Elle - "On s'en fout"
    
    Je reprends la cadence en espérant que la table résiste.
    
    Nouvelle alerte, la cuisinière a dû nous imaginer à la piscine et se dirige maintenant vers nous. Elle doit nous chercher.
    
    Elle - "Vite, elle arrive"
    
    Moi - "pff, on ne peut même pas baiser tranquillement."
    
    Elle attrape une vieille serviette et se couvre de celle-ci.
    
    Elle - "Ce n’est pas bon, ça fait grillé, toi, parle lui!"
    
    Moi - "Euh, mais elle va voir que je n’ai rien sur moi"
    
    Elle- "T'inquiète pas, on laisse le bas de la porte"
    
    Moi - Vla le plan foireux"
    
    Elle - "Tais toi, c'est trop tard de toute façon"
    
    Sandrine ouvre la partie haute de la porte, de fait le froid de février entre dans le pool house
    
    Moi - "Bonjour, Josette, comment allez-vous?"
    
    Celle-ci s'arrête à 4 ou 5 mètres de nous, au soleil.
    
    Josette - "Bien et vous, je ne vous trouvais pas, je voulais savoir ce qu'il vous ferait plaisir ce midi"
    
    Dans nos deux têtes, même idée "que tu te barres"...
    
    Moi - "Je ne sais pas, Sandrine a des préférences sans doute?"
    
    Commence alors une discussion sur notre séjour. Moi, nu en partie caché par la porte, je commence à avoir froid.
    
    Josette s'en rend compte "Vous n'avez pas ...