1. Démarcheur à domicile 5 soupçons désobligeants


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... raison suffisante pour répandre des ragots ? Gérard, moi aussi je l’ai rencontré au foot, je connais Odette sa femme. Liliane et Joseph habitent chez les parents de Joseph. Et toi, pour te venger de la rapidité de mon départ tantôt, tu oses affirmer que ma sœur est sa maîtresse et pousse l’audace jusqu’à accueillir son amant chez elle devant une dizaine de femmes. Tu es devenu extra sensible, un rien te bouleverse, ton imagination débridée s’emballe, tub te joues un film dégoûtant. C’est incroyable. Tu me déçois.
    
    - Soit, là n’est pas la question. Tout simplement, tous commentaires désobligeants mis à part, Gérard menait-il la réunion chez ta sœur, oui ou non ?
    
    - Quand cela serait, cela prouverait-il que ces deux là ont une liaison amoureuse ? Comme j’étais au même endroit, en conclurais-tu que Gérard et moi entretenons aussi des relations intimes ?
    
    - Tu avance l’hypothèse la plus méchante. Eh! Bien tu vas au devant des soupçons qui me turlupinent depuis quelque temps.
    
    - Mais ce n’est pas vrai. Ah ! Si j’avais su…
    
    - Des regrets ? Quand tu es sortie de la maison de ta sœur, la voiture de Gérard stationnait encore au même emplacement. Que faisiez-vous, lui le séducteur et vous les deux sœurs ? Une partie à trois ? Vous tâtez ses muscles, vous calculez le volume de son corps caverneux; vous mesurez les dimensions phénoménales de son matériel de reproduction ou vous essayez et vérifiez les vertus des jouets sexuels nouveaux de ses collections?
    
    - Arrête tes ...
    ... bêtises. Rien de particulier. Il devait ranger son matériel. Moi, j’ai pris une douche avec Liliane.
    
    - Est-ce possible ? D’habitude tu te douches à la maison avant d’aller en visite. Ah ! C’est habituel, en mari attentif je l’ai remarqué depuis toujours, tu te douches aussi après l’amour. J’aimerais savoir ce qui s’est passé dans cet appartement, pour que tu te croies obligée de te doucher encore.
    
    - Tu m’énerves. C’est humiliant. Tu mériterais que je prenne un amant : tu aurais de bonnes raisons de me soupçonner et de me cuisiner comme un flic
    
    - Approche, embrasse-moi et faisons la paix.
    
    Marion se calme, se penche sur moi pour ce baiser de paix. Ma main quitte l’accoudoir du fauteuil, passe sous sa jupe, remonte lentement sur la cuisse, retient la jambe qui se dégageait, aboutit dans la fourche, s’applique fermement sur le sexe de Marion. Pas de culotte, elle a tous ses poils, une fente bien chaude s’offre à mes caresses, j’aime ce contact et le tressaillement habituel du ventre au contact de mes phalanges.
    
    - Mais tu es un maniaque, que fais-tu ? Ça te plaît, hein de me passer la main. Que cherches-tu. C’est quoi cette enquête agrémentée d’une fouille au corps?
    
    - Ne me dis pas que tu as eu une fuite et que tu as posé ta culotte dans le panier à linge, tu es venue ici, au salon,directement avec moi. Tu es partie à une réunion sans culotte ?
    
    - Mais…non.
    
    - Desserre tes cuisses s’il te plaît. Ta vulve est normalement humide. Le vagin est propre. Je te fais mal ...