Il en avait une belle 1/2
Datte: 23/03/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Rollerbi, Source: Hds
... penaude. Je suis assez... expansif.
— Tu plaisantes ? Si tu jouis toujours autant, c’est génial ! dis-je en m’accroupissant devant son sexe pendant, mais pourtant encore long et large.
— Tu sais, ce n’est pas tous les jours sa fête !
Son gland encore renflé retenait toujours son prépuce lorsque je l’enfournais entre mes lèvres. Je savourais ce sexe dépassant tous mes espoirs de drague, encore imprégné du goût de sa semence. Les genoux écartés, je sentais le frais pénétrer mon anus quelque peu fiévreux de ses assauts, duquel gouttait encore du sperme tant il me l’avait ouvert et rempli. Je nettoyais ce sexe avec des mouvements amples et respectueux, un peu comme un cavalier flatte son cheval en sueur lorsqu’il vient de remporter une coupe. Bandée comme débandée, elle était tout aussi bonne et volumineuse. Ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur, il se laissait faire docilement, soufflant même un peu quand je gobais ses belles couilles poilues.
Mon forfait terminé, nous nous sentions si bien, tous deux appuyés à sa voiture, dans le calme sécurisant de cette clairière et la fraîcheur relative de ce début de soirée. Notre suée séchait, nos organes se remettaient de leurs émotions et l’ambiance était au dialogue. Il voulait savoir, comprendre, comparer...Il m’expliquait se sentir libéré d’avoir osé franchir le pas après des mois, ou plutôt des années de questionnement. Je lui répondais comprendre ses envies secrètes ainsi que le poids de tels désirs. Mais il ...
... fallait également comprendre que Madame n’avait peut-être pas la capacité physiologique de gérer un organe de cette dimension ! Il acquiesçait, argumentant que de toute façon, le dialogue était difficile avec sa femme, qu’elle se braquait aisément et pouvait refroidir un régiment en quelques mots. Lui restait alors son jardin secret... et son poignet droit. Je réalisais à quel point ma copine me correspondait, même si ce soir, je craquais pour ce beau mec.
La pénombre s’installait et pourtant, ni l’un ni l’autre n’étions pressé de nous rhabiller. J’allais chercher une cigarette dans mon short et revins à côté de lui. Dieu qu’elle était bonne, cette clope ! de ma main libre, je saisis sa queue et la caressais tendrement.
— Tu viendrais chez moi ? risquais-je, la tête pleine de projet pour mon nouvel ami.
— Pourquoi pas. J’ai confiance en toi. Mais...
— Mais ?
— Je me sens à l’aise avec toi. En fait, j’aimerais bien essayer d’autres choses avec toi.
— Comme quoi ?
— Comme inverser les rôles. Te sucer... que tu me prennes...
— Tant que tu n’as pas des lubies sadomasochistes ou l’envie de me travestir, aucun problème ! Et si l’envie de réitérer l’exploit que tu viens de me faire vivre te reprend, je suis ton homme. Tu m’as si bien pris !
— Comment refuser ! conclut-il en passant sa main sur mes fesses.
— Prêt à te recevoir quand tu le désires !
Deux doigts trouvèrent mon trou et y entrèrent sans trouver la moindre résistance. Je tirais sur ma cigarette ...