1. Il en avait une belle 1/2


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Rollerbi, Source: Hds

    ... découvrir mon corps. Reluquant sa robuste bite pointant vers le ciel, je retirais intégralement mes habits, il en profita pour se retrouver entièrement nu également. Profitant de cette pause, ses doigts attrapèrent mon paquet en me disant que mon corps lui plaisait beaucoup. Sans plus attendre, il se pencha et prit ma queue en bouche. Un homme sait d’instinct ce qu’il doit faire et mon membre glissait entre ses lèvres.
    
    Il s’occupa de longues minutes à me sucer, m’avouant qu’il n’imaginait pas que cela distendait autant la mâchoire, mais qu’il appréciait. Je retournais le pomper en y mettant toute mon âme et Guy devenait plus expansif, commentant volontiers ce qu’il ressentait et ce qu’il voyait. Ses yeux, comme ses mains d’ailleurs, pointaient vers mes fesses nues, lisses et bronzées. Il les écartait en me disant que “j’avais un très beau cul”, qu’il m’avait bien observé quand j’étais descendu me baigner ou pendant que nous discutions. Je l’invitais à y plonger ses doigts, m’imaginant que cela précipiterait sa jouissance...
    
    — Elle te plaît ma queue ? demandait-il, prenant de l’assurance, ou voulant être rassuré.
    
    — Oui, elle est grande et bien épaisse, j’adore. J’ai hâte de goûter ton sperme !
    
    — Hummmmm... pas si vite ! Tes fesses me font envie !
    
    — Tu as des capotes ?
    
    — Non ! Mais j’aimerais beaucoup essayer de te prendre.
    
    Je n’avais aucune protection et ne me voyais pas faire sans. Pourtant, il s’occupait très bien de mon séant, y mettant aisément ...
    ... deux doigts tout en me masturbant de sa main libre. Sa verge était si longue qu’il en restait assez à sucer, même lorsqu’il se penchait sur moi. Monsieur semblait très endurant, quel que soit le rythme de ma fellation, il ne donnait aucun signe de faiblesse, continuant à plonger ses doigts en moi.
    
    La lumière baissait, mes maxillaires souffraient et Guy ne jouissait toujours pas. Il adorait se faire sucer goulument, chose que sa femme lui refusait, le trouvant trop gros pour sa bouche. Ça, je le comprenais bien, puisque j’en souffrais à force d’avoir la mienne grande ouverte. Il insistait pour que je cède à ses avances... ses arguments eurent raison de ma bonne conscience comme de ma mâchoire. Sa voiture était spacieuse et confortable, mais il insista pour que nous en sortions.
    
    Il m’avait vraiment chauffé et j’étais presque impatient de l’accueillir. Tous deux contre l’aile de son véhicule, penché sur sa queue, je la salivais abondamment en toisant le beau calibre bien rigide que j’allais recevoir. Moi qui adore les hommes bien montés, je disposais d’un morceau de choix, avec de belles bourses bien pendues que je sentais presque déjà balloter entre mes jambes. On ne croise pas ce genre de sexe à chaque rencontre ! Ses mains flattaient ma croupe et à cet instant, je ne saurais dire lequel de nous deux était le plus en manque. Après avoir étalé un peu de ma salive sur l’anus, je me penchais sur le capot en tenant mes fesses offertes. J’étais prêt, il posa son beau gland ...
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