1. Alicia et son papa (1)


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... le voyais nu, et je fus impressionnée par sa puissante musculature. Et surtout par sa monstrueuse verge. À dix-huit ans, je n’étais plus une oie blanche, j’avais eu deux petits amis. Mais aucun d’eux n’était pourvu d’un tel sexe, ni en épaisseur ni en longueur. Et il s’en fallait de beaucoup.
    
    Je reculai lentement, sans faire de bruit. Mon cœur battait la chamade comme je refermais doucement la porte de ma chambre. Je m’allongeai sur le lit, les yeux dans le vague. Papa se masturbait, une fois seul dans son refuge. Depuis le décès de maman mi-juillet il n’était jamais sorti, n’avait jamais reçu une autre femme ici. Il en était réduit à se masturber. Alors qu’il aurait pu avoir une nouvelle aventure. Songeuse, je me relevai pour aller devant le grand miroir du placard.
    
    Je ressemblais énormément à maman, même taille et même poids, même pointure de chaussures, poitrine menue, la taille fine et les hanches pleines. Une musculature déliée et souple de sportive, les cheveux blond pâle et de grands yeux bleus mangeant un visage doux et pur.
    
    Je ne sais pas ce que je dois faire après avoir vu ça. Papa est seul maintenant et il souffre. Il est en manque de sexe parce qu’il refuse de remplacer maman. Maman à qui je ressemble beaucoup. Ces choses ne se font pas, mais… C’est une bonne action que je vais faire, un geste d’amour.
    
    Je pris ma décision sans réfléchir plus avant : papa avait besoin de jouir et il méritait mieux que sa main gauche. Je poussai la porte de sa chambre ...
    ... et m’approchai de mon père, très vite, sans lui laisser le temps de réaliser. Doucement, je posai la main droite sur la base de sa verge.
    
    — Tu ne devrais pas avoir à faire ça, papa. Je suis là pour toi.
    
    — Mais tu es ma fille, objecta-t-il.
    
    — Oui. Ta fille qui t’aime. Tu n’es pas seul, papa. Maman me manque aussi. S’il te plaît, enlève ta main et laisse-moi faire.
    
    Papa ne répondit pas, mais il ôta sa grosse paluche de sa bite. Il me faisait confiance, compris-je naïvement. Je n’allais pas le décevoir. Je commençai à caresser son membre viril, mais je m’aperçus aussitôt que ma main était loin d’en faire le tour. Il me fallait les deux pour enserrer le fût, surtout la base, véritable tronc dur comme l’acier. Papa n’était pas loin de la jouissance, je me baissai pour pouvoir donner des coups de langue sur le méat d’où suintaient des gouttes de liquide blanchâtre, tout en continuant à masturber son engin.
    
    Sans rien dire, papa posa une main sur ma nuque pour guider ma bouche. J’entrouvris les lèvres pour sucer le gland. Il était si gros que je doutais de pouvoir un jour le prendre en entier. Puis le membre viril se mit à tressauter, devenant encore plus épais et rigide, la semence s’écoula du méat que je titillais de la langue ; par réflexe, je reculai brusquement et serrai les lèvres pour ne pas avaler du sperme qui jaillissait sous pression et inondait mon visage. Je fis la grimace, car je n’aimais pas le goût ni la consistance du liquide séminal.
    
    L’œil droit ...