Mon éveil de soumise (2)
Datte: 22/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
Mon éveil à la soumission
Chapitre 2 : La préparation
Ce lundi, je quittais donc le bar où je venais de rencontrer cet homme, Pierre, et je me dirigeai vers mon cabinet.
Avocate d’affaires, j’étais associée dans un cabinet parisien de belle réputation et en y songeant, je m’interrogeais sur ce qui pouvait me pousser, assez irrésistiblement, vers cette relation dont je pressentais qu’elle serait sans retour !
Je ne savais à ce moment précis répondre à cette question sinon à me dire que je portais en moi depuis longtemps ce désir sur lequel je n’avais pu jusqu’à présent mettre un nom !
La Fabienne rigoureuse et exigeante envers elle-même comme ses collaborateurs était une femme sur le point de basculer et la douleur sourde et douce que je conservais sur les lèvres de ma chatte venait me rappeler que j’avais sauté le premier pas ... et qu’il y en aurait d’autres.
J’épluchais mes mails nombreux comme les notes de mes collaborateurs ; il n’y avait cet après-midi-là aucune affaire pressante.
Lundi 15h30, « bip » premier SMS de Pierre.
— Portes-tu une culotte de coton blanc ?
Ouf c’était le cas ! je répondis oui ; il n’y eut pas d’autres messages.
Lundi 22h15, « bip », message : « Tu te coucheras à 23h30 et te caresseras comme convenu »
Je répondis « Oui Monsieur » et à l’heure précise, j’étais avec cette culotte de coton blanc sous ma couette.
Déjà un peu humide, je sentis mon clitoris se gonfler et durcir alors que défilaient dans ma tête des ...
... scènes inavouables ; j’entendais ce délicieux bruit de succion que provoquaient mes doigts en caressant mon sexe, signe de mon excitation. Avec mon autre main, je pinçais et étirais mes lèvres jusqu’à ce que j’atteigne un orgasme puissant ... et mouillé. Je me léchais les doigts ; bien qu’il ne m’en ait pas donné l’ordre, je me doutais que Pierre aurait été heureux de ce geste. Je m’endormis.
Mardi 7h15, premier message : « Comment vas-tu te laver ? »
J’y avais réfléchi, j’en étais déjà là, et je répondis : « je vais m’accroupir dans la douche et laver ce que je dois laver avec un gant Monsieur ».
Il n’y eut pas d’autres messages et je pris ça comme un acquiescement.
Lorsque j’allai uriner, je me rendis compte que ma chatte exhalait, déjà, un parfum puissant ; il était hors de question que je surprenne un regard surpris voire une grimace lorsqu’une de mes collaboratrices pénétrerait dans mon bureau et je décidais d’enfiler une deuxième culotte pour contenir mon odeur.
Matinée studieuse au bureau aux prises avec un contrat délicat pour un client exigeant.
Mardi 14h30, message : « Tu vas aller te caresser dans les toilettes de ton bureau maintenant. »
Pierre entrait maintenant dans ma sphère professionnelle et sinon révoltée, je ne me sentais pas consentante ; cette lutte avec moi-même ne dura pas très longtemps et je me rendis aux toilettes ; personne !
Rapidement assise, je m’activai avec succès.
Je lui envoyais un message : « C’est fait Monsieur ». ...