1. Une première très chaude... (1)


    Datte: 21/03/2020, Catégories: Gay Auteur: rectoverso90, Source: Xstory

    ... voiture.
    
    — Humm ! T’es un bon petit cochon toi ! me dit Jacques. Vas-y branle toi bien et regarde comment je me branle moi aussi.
    
    Effectivement, il se branlait la queue en me matant. Elle était énorme et impressionnante.
    
    Au bout de quelques minutes, il m’ordonna
    
    — Viens, on passe à l’arrière.
    
    Et une minute plus tard, nous étions totalement nus tous les deux à l’arrière de sa voiture.
    
    Nous nous branlions chacun de notre côté en regardant l’autre. Puis il me prit par le cou et me dit:
    
    — Viens un peu vers là, et montre-moi comment tu fais lorsque tu manges une glace.
    
    Pour la première fois, ma langue se posa sur une queue d’homme et le goût, un peu sauvage n’était pas pour me déplaire.
    
    — Prends-la dans la bouche et suce-la un peu.
    
    Je m’exécutai et lui commença à souffler de plus en plus.
    
    — Humm tu sais y faire tout compte fait ! Vas-y suce moi bien à fond petite salope...
    
    Plus il parlait mal et plus j’étais excité...
    
    — Je vois que ça te plaît qu’on te parle ainsi ma petite pute... Vas-y bave que ma queue et lèche-la... Ouiiii. Suce-moi à fond comme une bonne petite pute que tu es... Branle-toi en même temps !
    
    Je m’exécutai toujours, tâchant de faire pour le mieux.
    
    — Viens un peu vers moi, je vais jouer avec ton petit cul aussi.
    
    Je me rapprochai et d’un doigt humide, il commença à me caresser la rondelle. C’était comme de l’électricité. Il enfila un doigt dans mon cul et de mon côté j’émettais un petit cri de douleur, mais de ...
    ... jouissance aussi.
    
    — Tu as joui ma salope ! Tu as craché ton jus avec juste un doigt dans le cul ! O putain tu dois être une bonne petite baiseuse toi !
    
    Il continua à me doigter de plus en plus. Il m’ouvrait le cul doucement, mais sûrement. J’avais abandonné sa queue pour me mettre en levrette, la tête contre la banquette afin d’ouvrir au mieux mon petit trou.
    
    Lui, de son côté avait compris que son travail était là, et s’appliquait à m’ouvrir.
    
    Un doigt allait et venait en moi, puis deux... A chaque fois, il les sortait, les mouillait, et revenait en moi. De mon côté, je ne voyais plus rien, je n’entendais plus rien, j’étais en transe. Un nouveau plaisir m’arrachait le ventre en j’en redemandais
    
    — Ouiii vas-y, continue...
    
    — Tu aimes ça petit salope ! J’en étais sûr. Dès que je t’ai vu en boîte, je savais que tu aimais te faire prendre le cul.
    
    Et de continuer de plus en plus fort à m’ouvrir.
    
    Je m’aperçus qu’en même temps il se branlait et que sa queue était encore bien raide.
    
    — Je crois que tu es prêt maintenant. Laisse-moi faire, tu vas aimer. N’aie pas peur.
    
    Il se plaça derrière moi, me fit me cambrer en appliquant mon visage sur la banquette de la voiture et en me demandant d’écarter les fesses avec mes mains.
    
    — Humm, tu es très excitant comme ça. Si tu voyais ton trou comme il est bien ouvert.
    
    C’est alors que je sentis quelque chose de dur se poser sur ma rondelle et pousser. Je compris qu’il était en train de m’enfoncer sa bite dans le cul. ...