La fille du lac
Datte: 21/03/2020,
Catégories:
Anal
Voyeur / Exhib / Nudisme
Inceste / Tabou
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... lieu de trois bières, j’en ai pris six. Une bouteille de vin, de l’eau gazeuse, du pain, du saucisson, une terrine, des raisins secs et un paquet de biscuits. Et quelques autres affaires.
Anna est montée la première dans le canoé et j’ai attendue qu’elle se soit installée à l’avant pour pousser l’embarcation et la lancer sur l’eau. Je me suis assis derrière elle et je lui ai dit :
« Tu t’es déjà servie d’une pagaie ? »
Elle me tournait le dos :
« Non. »
« Essaye, ce n’est pas compliqué. »
Elle a pivoté sur son siège, puis elle a pris la deuxième pagaie. J’avais déjà éloigné le canoé d’une vingtaine de mètres de la rive. Cent mètres plus loin, grâce à mes conseils, elle arrivait à peu près à manier l’accessoire, mais ce n’était pas brillant.
J’eus du mal en m’enlever de la tête qu’à cette minute, Nadège m’en voulait non seulement d’avoir quitté le groupe de cette façon, mais certainement aussi d’avoir accepté que cette petite nana vienne avec moi.
Je pagayais, sans hâte, et je pouvais difficilement décrocher mes yeux de la fille qui me tournait le dos. De son short, le bas du maillot de bain fuchsia dépassait un peu. Anna avait un superbe petit cul et le bruit de la foule sur la plage avait quasiment disparu derrière nous.
Au bout de 500 mètres, elle a sorti sa pagaie de l’eau et l’a reposée dans l’embarcation en disant :
« J’en peux plus… »
« Ce n’est pas grave, ai-je répondu, on ne fait pas la course. Et au début je devais être seul pour ...
... faire avancer ce canoé. »
Elle n’a rien dit, alors j’ai ajouté :
« Ton copain ne t’en veut pas d’être partie avec moi ? »
Elle a haussé les deux épaules et répondu :
« J’ai bien le droit de faire ce que je veux. »
Dans les minutes suivantes, on ne s’est pas parlé. Je continuais de mater le bas de son maillot qui débordait du short, tandis qu’Anna s’était allumée une cigarette. Elle m’en avait proposé une, mais j’avais arrêté de fumer deux mois auparavant.
On n’entendait plus rien autour de nous, à l’exception d’un bateau à moteur, au loin, qui bourdonnait. Et moi je pagayais tout en me disant que ce que j’étais en train de vivre était surréaliste. Quelque chose me disait que Nadège ne manquerait pas de m’envoyer une tonne de remarques le soir à notre retour, mais je m’en fichais. J’avais envie de profiter du présent, c’est-à-dire du lac presque silencieux et de la fille de 18 ans en mini short qui était assise à moins d’un mètre devant moi.
Puis, à un moment donné, je l’ai entendue dire :
« Il fait chaud. »
Et elle a ôté son débardeur.
Pour enlever son short, elle attendit un peu. Nous étions alors aux abords d’une crique, loin de tout. J’avais décapsulé deux bières et découpé quelques tranches de saucisson, en guise d’apéro.
Anna s’est tournée vers moi en disant :
« Si jamais je me mets debout pour enlever mon short, je vais nous faire couler ? »
Je me suis marré et j’ai répondu :
« Non, par contre évite de te mettre debout. Tu pourrais ...