1. Nadine 04


    Datte: 21/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bydan57, Source: Literotica

    ... rentrer à la maison avant le vendredi à midi pour son repas. En fait, au bout de quelques semaines, elle comprit par une odeur qui flottait dans l'air, des mégots de cigarette maculés de rouge à lèvres que Jean avait une liaison et en profitait pour la recevoir chez lui, mais il s'était arrogé ce droit dès le départ.
    
    En plus, son dressage d'esclave avait déjà tellement modifié sa façon de voir les choses que Jean aurait pu amener la femme à la maison, baiser avec elle sous les yeux de Nadine ou faire de celle-ci la servante de cette femme, baisable et corvéable à merci, qu'elle aurait trouvé cela normal et y aurait même peut être pris plaisir. Pour l'esclave qu'elle se sentait devenue, aucun Maître n'avait plus besoin de justifier quelque acte que ce fût. Elle était dans l'état d'esprit dont lui avait parlé Jean : S'il lui avait annoncé qu'il voulait la filmer s'empalant elle-même à mort, elle serait montée d'elle même sur un escabeau, et se serait mis des chaînes et des poids au pied avant de prendre place en se tournant vers la caméra pour que chaque étape de son supplice soit parfaitement filmée.
    
    Sentant qu'elle s'installait trop dans son rôle d'esclave, Jean tint à partir de ce moment à passer un week-end tranquille avec elle, comme avant. Le samedi, lorsqu'elle le réveillait en revenant de chez Frédéric, il l'embrassait, la faisait coucher dans le lit à coté de lui, allait lui préparer un petit déjeuner qu'il lui servait au lit. Le soir, il l'emmenait dans des ...
    ... restaurants parfois très luxueux. A ces occasions, elle portait une robe longue ou un tailleur habillé. Lorsque des marques zébraient ces épaules ou sa poitrine, un chemisier opaque masquait les dégâts. Chaque fois que c'était possible, Jean lui faisait porter un grand décolleté devant et derrière. Bien entendu, elle avait ses éternelles échasses de quinze centimètres, parfois des bas et souvent un porte-jarretelles mais rien d'autre. Il lui avait dit :
    
    - Je tiens à ce que tu gardes pour l'instant un contact avec la bonne société. Le dimanche, tu t'habilles élégamment et nous irons au spectacle ou en réception le dimanche soir et nous ferons l'amour comme avant.
    
    Pendant ces réceptions mondaines, elle pensait souvent que le lendemain à la même heure, son prof de tennis se serait vidé les couilles dans tous ses orifices, lui aurait uriné en plein visage et l'aurait renvoyée chez elle sans même lui permettre de se laver et que le surlendemain, à la même heure, quinze ou vingt hommes lui seraient déjà passés dessus.
    
    Pour les nuits qu'elle devait passer dehors, elle avait trouvé rapidement la solution : Pierre envoyait sa femme chez sa mère qui était malade le mercredi et baisait toute la nuit avec Nadine. Le jeudi soir, elle le passait dans un grand hôtel de la ville voisine où on la prenait pour une riche femme d'affaires. Elle payait avec ce qu'elle ramenait des soirées pour le compte de Frédéric : elle prenait toujours au moins deux clients de plus que nécessaire chaque ...
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