Afrique (1)
Datte: 21/03/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: abaddon01, Source: Xstory
Je suis âgé de 24 ans et suis accompagné d’une parfaite petite salope Nathalie qui a 20 ans. Elle est parfaitement intégrée dans la boîte de conseils informatique qui m’emploie. Sur le plan sexuel, je l’avais déjà baisée plusieurs fois et c’était une sacrée cochonne, mais je ne me doutais pas de ce qui allait suivre. Lors d’un voyage en Afrique pour des raisons professionnelles où j’eus l’occasion de rencontrer des femmes splendides et qui baisaient avec une passion incroyable, j’eus l’occasion de partir avec elle. Quand nous nous promenions, plusieurs hommes se retournaient en la voyant et la sifflaient. Parfois, j’entendais même :
Ouah ! Putain la bonasse, tu dois pas te faire chier au lit avec elle. J’avoue qu’elle était bonne et que leur envie de se taper une fille blanche de bonne famille et bien roulée 90-60-80 devait les tarauder !
Un jour de printemps où nous étions installés à la terrasse d’un bistrot lorsque nous vîmes un chien énorme et qui paraissait appartenir à la propriétaire de l’établissement.
Tout à la lecture de mon journal, je ne prêtais pas attention à ce chien qui se faufilait entre les tables des clients tout en reniflant brièvement au passage les femmes, plus particulièrement que les hommes. Je dois préciser que cet animal était de race des dogues et plus particulièrement un dogue allemand. Pour les non-connaisseurs, il faut savoir qu’il s’agit de chiens énormes.
Examinant plus attentivement son manège, je m’aperçus qu’il s’agissait d’un ...
... chien lequel présentait un sexe gonflé et énorme. Ma compagne Nathalie ne rata pas l’occasion de se rincer l’œil et cette vision réveillait en elle un vieux souvenir de vacances qu’elle me chuchota :
— Quand je passais chez mes grands-parents lorsque j’avais dix-huit ans et au cours de laquelle je vis beaucoup d’animaux s’accoupler, ce qui me fascinait.
— Un jour, mon grand-père me demanda d’attacher dans la grange le chien de la maison qui, disait-il, avait ses chaleurs, et ce afin d’éviter qu’elle aille roder et de s’accoupler avec n’importe quelle chienne. Il me recommande par ailleurs de veiller sur la maison, car lui et ma grand-mère s’en allaient au marché de la ville voisine et qu’ils ne seraient pas de retour avant la fin de la journée.
— J’appelais le chien qui vint vers moi, car nous jouions souvent ensemble et il aimait se faire caresser, ce que mes grands-parents faisaient rarement. Je l’entraînais donc vers la grange éloignée de la maison d’habitation d’une centaine des mètres ; comme c’était l’été, j’étais en short et ne portais pas de culotte et lorsque je me penchais pour attraper la chaîne, le chien mit soudainement sa truffe dans mon entrejambe et se mit à lécher mon sexe, ce qui me surprit et je le repoussai gentiment. Une fois attachée, je le caressais et passais involontairement la main sur son pénis - cette caresse provoqua chez lui une réaction immédiate et se jeta sur moi de tout son poids, me renversa et me présenta son énorme zob.
— La vue ...