1. LE TELEPHONE ROSE...


    Datte: 20/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... son chemisier. Myriam devina bien ma manœuvre, et se contenta d’enfoncer sa langue dans ma bouche. J’écartais largement le pan de son vêtement et le maintenais de ma main passée derrière ses épaules. Je massais le joli sein découvert. Je remarquais que l’homme, s’il ne cessait d’embrasser Delphine, s’était positionné de façon à nous voir, et que son regard ne quittait plus ma partenaire. Je savais que ce sein, de profil, était superbe, et le gars devait se rincer l’œil. Ma partenaire, loin de s’offenser de mon manège, lançait de fréquents coups d’œil à son admirateur. Je caressais et soupesais sa poitrine, comme un melon, et de l’autre main, pelotait sa cuisse, en remontant sa jupe. L’accoudoir devait en partie cacher mon geste, mais l’homme ne pouvait ignorer que je caressais ma compagne. La position de ses jambes, très écartées, était sans équivoque Il avait du le faire remarquer à Delphine, car elle aussi se tournait souvent vers nous.
    
    Surexcité par la situation, il immisça une main sous la jupe. Mais ce n’était de l’avis de sa bonne femme, visiblement pas encore prête à s’exhiber. Ce qui n’était pas le cas de Myriam, que j’invitai d’une pression de la main, d’ écarter plus grand encore ses cuisses, repoussant sa jambe jusqu’à la poser sur l’accoudoir de son fauteuil. Ainsi ouverte, offerte, légèrement tournée vers ses voisins, sa position était totalement indécente. J’en profitais pour glisser la main dans son slip et caresser son bouton dressé.
    
    La tête au creux ...
    ... de mon épaule, elle se laissa caresser. Son sillon était humide, et quand je plongeais un doigt à l’entrée de son sexe gluant, elle gémissait et se cabra dans mes bras. Nos deux voyeurs ne nous quittaient plus du regard. Je caressais Myriam de plus en plus profondément, et j’avais maintenant deux doigts qui s’agitaient au fond de sa cramouille en produisant un bruit de clapet tout à fait obscène, mais très excitant.
    
    Je ne croyais pas qu’ils puissent l’entendre, pourtant ils devaient percevoir les gémissements de ma partenaire. Elle me caressait à travers mon pantalon, et je sentais ses doigts s’attaquer à ma ceinture. Je l’aidais à me dégrafer, et durant de longues minutes, nous nous masturbions réciproquement. La situation était très excitante et nous poussait à aller plus loin. D’autant que nous sentions leur regard sur nous, et que Delphine, jambes écartées, avait poussé son mari à la trousser et se laissait à présent, visiblement caresser, en partie protégée par son accoudoir, hélas pour moi.
    
    Nous étions à la limite de l’explosion. Myriam mouillait comme une fontaine en tortillant son bassin à la rencontre de mes doigts fichés dans son ventre. Il semblait, à ses soupirs, que notre Delphine appréciait particulièrement le traitement que lui infligeait son époux devenu dévergondé, qui avait l’air lui aussi très excité. Je demandais alors à Myriam :
    
    - Enlève ton slip et viens t’asseoir sur mes genoux !
    
    Son geste pour se déculotter était évident. Courbée en avant, ...
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