1. Le Grenier (1)


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Divers, Auteur: Charméléon, Source: Xstory

    ... sa main entre ses cuisses et masturba son clitoris jusqu’à l’orgasme... Elle laissa alors ses mains tomber au sol et essaya de reprendre sa respiration : elle haletait et avait du mal à respirer !
    
    Cela avait pris une tournure vraiment étrange, elle s’en rendait bien compte. Pourtant elle n’avait pas pu s’empêcher de se toucher à même le sol. En plus son excitation ne diminuait pas malgré son récent orgasme. Elle voulut néanmoins se relever car les feuilles au sol commençaient à la chatouiller le long de ses jambes et de ses bras... Mais lorsqu’elle essaya de prendre appui sur ses bras, elle se rendit compte que des lianes s’étaient enroulées autour et qu’elle n’arrivait plus à les bouger ! Pareil pour ses jambes !
    
    Au fond d’elle, elle commençait à se sentir paniquer, mais son corps, lui, était encore plus excité qu’avant son orgasme. Elle se sentit néanmoins bouger, comme si elle était traînée de force au sol. Elle voulut expulser un cri d’horreur, mais le son qui sortit de sa bouche ressemblait plus à un cri de plaisir. L’odeur du parfum gagnait en intensité au fur et à mesure qu’elle était traînée. Soudain, elle s’arrêta et fut soulevée du sol par les lianes.
    
    Elle voulait crier, elle voulait se débattre, elle voulait pleurer et quitter cette maison. Mais son esprit ne parvenait pas à se faire obéir de son corps : elle était en train de haleter et de gémir de plaisir, son corps se tordait pour essayer de faire entrer en contact ses zones érogènes avec une liane ...
    ... ou une feuille, et elle ne se débattait que pour augmenter le plaisir qu’elle ressentait.
    
    Les lianes lâchèrent ses jambes et elle sentit qu’elle descendait, que les lianes qui la tenaient par les bras la déposaient dans quelque chose. Comme un sac de couchage posé à la verticale. L’intérieur de ce "sac" était chaud et humide contre ses jambes, et lorsqu’elle y fut glissée jusqu’aux genoux, les lianes autour de ses bras se desserrèrent.
    
    Marine tomba au fond du "sac", et essaya de se relever pour en sortir, mais à peine sa tête fut-elle sortie que l’entrée se referma brusquement autour de son cou. Il ne l’étranglait pas, il l’empêchait juste de sortir autre chose que sa tête. Le "sac" se comprima sur lui-même de sorte qu’elle ne put bientôt plus bouger les bras, mais au niveau de ses jambes, il était un peu plus élargi. Elle pouvait écarter les jambes, et c’est ce qu’elle fit en essayant de jauger de la place dont elle disposait. Lorsque ses jambes touchèrent les bords, elles furent saisies par de tout petits tentacules qui les maintinrent collées.
    
    Marine ne pouvait plus bouger, elle était prisonnière de quelque chose, dans cette chose même, terrifiée et incapable de l’exprimer. Son corps était dans l’attente de quelque chose. Elle ignorait quoi, ou du moins elle savait qu’il voulait encore plus de plaisir, jouir comme jamais auparavant, que chacune de ses cellules vibre d’un orgasme intense.
    
    Un souffle chaud parvint d’entre les pieds de Marine, ce souffle remonta ...