Jeux entre frères (9)
Datte: 19/03/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... faire agrandir le trou m’excitait de plus en plus. J’avais essayé en secret, mais je m’étais fait mal, alors j’avais abandonné ; mais là c’était différent la progression était lente et beaucoup moins douloureuse, alors j’avais hâte de vivre la suite.
— Lyli, on fait une pose ?
— Si tu veux, moi je me ferai bien lécher la minette ; pas toi ?
— Belle idée. Allez, esclave ; venez sous la table, et léchez nos minettes.
Nous nous sommes retournés et prêts à nous lever :
— Non, non ; à quatre pattes ! Vous êtes tellement mignons avec votre trou tout garni, on dirait des chatons ; tu ne trouves pas, Lyli ?
— Mouais… ! Ou des petits chiens, mais j’ai bon espoir d’arriver à leur mettre tous les crayons et aussi la jolie queue ; pour faire plus vrai.
Nous obtempérons et nous nous retrouvons sous la table. Elles levèrent leur longue robe et nous offrirent le spectacle de leur minettes nue et lisse. Assises de chaque côté de la table, elles se faisaient face et je choisi de me diriger vers la minette de Lyli. Plus douce que sa sœur, j’ai une petite préférence pour elle. Sa fleur, aux lèvres encore rosées par sa jeunesse, m’invitait à venir gouter le liquide brillant qui suintait en son centre ; j’avais très vite apprécié et adoré gouter à ce liquide.
Julien et moi étions cul contre cul, et, de temps en temps les crayons plantés dans nos derrière se touchaient et mon frère poussait les miens avec une fesse ; ce qui les faisaient rentrer toujours un peut plus en ...
... moi. Alors pour lui échapper, je m’enfonçais le plus possible entre les cuisses de Lyli et posais mes mains sur ces cuisses. Partant d’une bonne attention, je commençais à caresser du bout des doigts l’endroit si magique, mais hélas, elle glissa ses mains sous la table et fit prisonnières mes deux mains en les tenant par les boucles des mousquetons. Alors, Je léchais sa chatte à grand coups de langue, de chaton, jusqu’à ce qu’elle m’attrapa la tête à deux mains pour la maintenir contre son abricot ; en semi-apnée, je lapais. Son jus coulait doucement de son antre et je m’en régalais, mais le plus jouissif se fut quand elle se cramponna à moi et que je la sentis vibrer, c’était la première fois que je faisais jouir une femme juste avec ma langue ; Elsa s’en aperçu :
— Lyli, qu’est-ce qu’il n t’arrive ; ne me dis pas qu’il vient de faire jouir ?
— Si, si, il est génial, mon petit esclave ; je pense que je vais le garder avec moi tout le temps.
— Oh ! Julien ! Moi aussi je veux arriver, alors magne-toi !
Lyli me lâcha la tête et je tentai de caresser sa minette ; elle ouvrit ses jambes en grand, avança ses fesses au bord du banc s’y accrocha des deux mains. Je pouvais la caresser au loisir, une énorme envie de me masturber monta mais je la maîtrisais ; par contre l’envie de recevoir d’autres crayons devint intenable. Je pris le risque de prendre la main de ma déesse Lyli ; elle se pencha son la table.
— Que veux-tu ?
— Que tu me mettes encore des crayons, lui ...