1. Jeanne en Chaleur (2)


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Hétéro Auteur: alpha_s3, Source: Xstory

    ... presque un an, nous baiserons au moins une fois par semaine, après la séance de sport. Mais parfois, on arrivait à accorder nos agendas pour une sortie en milieu de semaine. Et il me faisait voir les étoiles et me faisait grimper au septième ciel dans des chambres d’hôtel de luxe, mais qui se faisaient louer à l’heure en passant par les bonnes connaissances.
    
    Au bout de 6 mois, quand il jouissait en moi, il hurla assez souvent “Je t’engrosse ma petite Jeanne ! “. Son fantasme ou son besoin de faire un enfant, de me faire un enfant, il n’en a jamais parlé. Mais moi, je rêvais de porter son enfant. J’avais besoin d’avoir un autre enfant. Mon corps avait besoin d’enfanter encore. Et quoi de plus beau que d’enfanter de cet homme que je considère maintenant comme mon homme. Il savait que je voulais un autre enfant. Et il savait que porter son enfant à lui me ferait plaisir, mais n’en parla jamais.
    
    Au bout d’un an donc, je retirais mon stérilet et le lui ai dit. Il le prit très mal et rompit avec moi. Ce fut les deux mois les plus difficiles. J’étais perdue. Sa colère ou sa déception s’estompèrent rapidement et au bout de quelques semaines, nous reprîmes contact, mais sans aucune relation physique. Il me fit promettre de reprendre une contraception. Je refusai au début, mais le besoin de l’avoir en moi, de me faire dominer par lui l’emporta. Alors, je lui mentis. Je lui avouai être bien protégée et il ne perdit pas une seconde.
    
    Ce jour-là, c’était chez moi, nous étions en ...
    ... milieu de journée et il n’y avait aucun risque de voir débarquer mon mari. Tom me plaqua contre le mur. Il souleva ma jupe et fit descendre ma culotte. Je m’étais faite toute belle pour sortir avec lui et visiter une expo d’art contemporain. La culotte à peine baissée, il fit descendre son pantalon et son caleçon sans même se déboutonner ou desserrer la ceinture. Quand tout était prêt, il m’étouffa avec sa bouche. Ce n’était pas un baiser, mais plutôt un ogre qui voulait me dévorer la bouche. Je mouillais comme une chienne en chaleur. Et heureusement ! Car à ce moment, il me transperça avec son engin d’un coup de boutoir puissant, qui me fit me dresser et m’appuyer plus sur le mur. J’étais en l’air, empalée sur son chibre qui me défonçait au rythme d’un marteau piqueur. Il avait la rage de me pénétrer, de me remplir. Je jouissais fort, sans retenue. Il gémissait dans ma bouche...
    
    Et il explosa en quelques minutes. Moi, je tremblais et sa jouissance m’emmena à un extremum de plaisir jamais atteint.
    
    Et là, je visualisais de nouveau son sperme en moi. Ses éjaculations, ses jets puissants qui arrivaient à ma matrice utérine, les spermatozoïdes qui faisaient encore la course... sauf que cette fois-ci, rien ne les empêcha d’arriver vers l’ovule. Car oui, cette fois-ci, aussi, j’étais à la bonne période, et là, je n’avais aucun doute sur le fait qu’il me féconda à ce moment.
    
    Notre après-midi ne s’arrêta pas là. Il m’emmena sur mon lit et me fit encore l’amour pendant deux ...
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