1. Gain en famille (1)


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: OnoX, Source: Xstory

    ... enfin vers eux.
    
    — L’équilibre dans toutes choses, énonça-t-il l’émotion le prenant.
    
    Elles firent un câlin familial autour de lui. Ils restèrent ainsi de longues minutes. Le ticket s’échappa et tomba par terre. Il le prit, marcha vers le téléphone et le posa avec précaution à côté.
    
    — Tu l’as su au bar, demanda-t-il à sa mère.
    
    Elle hocha la tête.
    
    — J’y suis passée avant d’aller au travail et…
    
    Elle haussa les épaules. Il fut pris d’un doute.
    
    — Il faut que l’on ferme toutes les portes de la maison et tous les volets. On se met en autarcie totale jusqu’à ce que la Française des jeux en soit informée.
    
    Elles suivirent les ordres et en l’espace de dix minutes, ils étaient murés.
    
    — Bon maintenant qu’est-ce que l’on fait ? Demanda Nicolas, je ne pense pas pouvoir dormir et vous ?
    
    Les jumelles firent non de la tête. Il alluma la petite lampe à côté de la télé, se dirigea vers l’interrupteur et éteint le plafonnier.
    
    — Si quelqu’un frappe à la porte, on fait les morts.
    
    (Le quartier n’est pas vraiment un modèle de gentillesse...j’espère que les dealers du coin ne vont pas en entendre parler avant que l’on s’en aille d’ici...partir...il le faut et rapidement.)
    
    — Où est maman ? Demanda-t-il.
    
    — Je suis là, répondit-elle en entrant dans la pièce avec un sac à la main. Venez par là !
    
    Elle sortit une couverture du sac et la mit entre la télévision et le canapé puis elle jeta des coussins.
    
    — On va rester ici tous ensemble.
    
    Les filles se ...
    ... mirent par terre et Nicolas s’allongea sur le canapé. Il prit la parole.
    
    — Maman, il faut qu’on décolle demain matin tôt et qu’on se barre dans en hôtel en ville.
    
    Marine le regarda en tremblant le ticket à la main, elle le posa au centre de la couverture.
    
    — Le quartier est pourri si on reste, on va se faire dépouiller, insista-t-il.
    
    — Mais la maison…
    
    — On s’en fout, on prend tout l’argent que l’on a et on se met au vert, je vais te dire je suis déjà surpris que tu sois arrivée jusqu’ici vivante.
    
    La mère sembla perdre le fil mais Tina prit la parole.
    
    — Je suis d’accord avec Nico.
    
    Sally hocha vigoureusement la tête.
    
    — OK OK, on part avec le premier RER.
    
    À peine avait-elle dit ça qu’un bruit suspect retentit derrière la porte. Marine se jeta sur la lampe et l’éteint.
    
    Dans le silence de la nuit, ils entendirent une personne marcher le long de la façade de la maison. Puis les vieux volets furent secoués.
    
    (Ils sont vieux mais avec des fermetures trois points, ce n’est pas près de s’ouvrir aussi facilement.)
    
    Les pas se rapprochèrent de la porte, ça sonna. Dans le noir, ils ne se voyaient pas mais les filles se rapprochèrent de lui. Une nouvelle personne se rapprocha de celle à la porte.
    
    — Les fumiers sont faits la malle.
    
    — Fils de pute ! Momo ne va pas être jouasse de ça.
    
    Un moment de silence se passa. La famille commença à suer à grosses gouttes.
    
    — On défonce la porte ? Demanda l’un des gars.
    
    Un grand coup la secoua.
    
    — Il y a ...
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