1. Sans sentiment (2)


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Cocoland, Source: Xstory

    ... l’humidité.
    
    - Ça te réussit le sexe sans sentiment apparemment
    
    - Surtout avec toi
    
    - Je ne vais pas te lâcher cette fois ma belle
    
    - Je ne compte aller nulle part, tu sais
    
    Il s’empara de mes lèvres tout en continuant de caresser mes tétons, il les titille, les fait rouler entre ses doigts et les mordille. Je gémis doucement, me cambrant sous ses caresses et ses mains expertes qui me font frissonner. Il insère un doigt dans ma chatte toute mouillée et je gémis encore plus. Je passe une main entre nous et je commence à branler sa queue redevenue toute dure.
    
    - Tu m’excites tellement Louis, mais je vois que c’est réciproque
    
    - Tu ne te rends pas compte du nombre de fois où j’ai pensé à toi et rêvé de ce moment Léa.
    
    Il plonge sa tête entre mes seins et les mordille en titillant mon clito avec son gland. Je veux qu’il me prenne, maintenant, sur son lit.
    
    - Prends-moi Louis
    
    - A tes ordres princesse
    
    A ces mots, il me pénétra doucement en me regardant dans les yeux. Je ne saurai pas dire si c’était vraiment du sexe sans sentiment. Il y avait quelque chose dans son regard, une autre étincelle ...
    ... différente de celle du désir charnel.
    
    Il accéléra de plus belle, je me mordillais les lèvres et il reprit ce rôle par la suite. Il caressa mes cheveux, en s’enfonçant durement en moi comme s’il ne voulait jamais en sortir. Puis il prit possession de mon cou, en l’embrassant, le mordillant et aspirant ma peau. Je gémissais de plus belle et j’en voulais toujours plus.
    
    Je passais rapidement à quatre pattes pour étouffer mes gémissements dans son oreiller, avec son odeur...
    
    Il me donna quelques fessées, et faisait de longs va-et-vient avec sa queue en moi. J’adorais vraiment ça, j’avais envie de jouir, mais de tenir en même temps.
    
    Moi-même je bougeais mon bassin pour que ça aille plus vite, que ce soit plus intense. Et dans un dernier coup de reins après une belle accélération, on jouit simultanément dans un râle commun.
    
    Je gémissais son prénom et lui le mien. C’était si bon de se sentir remplie, de sentir sa chaleur et son odeur.
    
    Il s’écroula sur moi avant de se décaler pour se recaler dans le lit. Il avait éteint la télé, le noir total, on s’est blotti l’un contre l’autre.
    
    - Merci Louis
    
    - Merci à toi ma belle 
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