1. Méli-Mélo


    Datte: 19/03/2020, Catégories: hh, fhh, hbi, fplusag, cocus, vengeance, Oral pénétratio, hsodo, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... long tube de chair humide et lisse dans lequel mes amants s’activent et pistonnent.
    
    Il grince des dents, signe précurseur de son éjaculation. Mon mari va jouir. Il m’empale encore plus profond, ses couilles s’écrasent sur mes fesses, et dans un soupir cesse de martyriser ses dents pour balancer sa purée au plus profond de moi. Un torrent, un véritable torrent doit s’écouler de la queue rivée dans ma chair. Il m’inonde, et son jus vient s’ajouter au gonflement de son mandrin pour me dilater un peu plus, avec toujours cette sensation que je vais exploser sous la merveilleuse pression.
    
    Mais déjà il se retire, me privant de cette douce sensation du dard qui dégonfle lentement et que ma grotte accompagne jusqu’à ce qu’il redevienne cette petit chose sans force qui s’écoule de ma chatte en entraînant avec elle une partie de son sirop.
    
    Franck aussi m’abandonne, mais je sens comme une certaine fébrilité. C’est une queue neuve qui remplace la bite de mon mari. Neuve et dure, et longue, et perforante. Mais elle glisse dans le sperme de mon Thomas, glissade obscène mais si bonne pour l’amener encore plus profond, encore plus invasive. Il est impatient, moi aussi. La gorge libre, je peux l’encourager dans son entreprise. Pourquoi me gêner ? Tous deux me connaissent et savent que parler est pour moi le plus érotique des plaisirs.
    
    Quel homme peut rester insensible à ces mots que la femme qu’il baise lui prodigue ? « oui », « encore », « comme ça », « plus fort », « défonce-moi ...
    ... », « ta queue est magnifique », « tu me fais jouir… »
    
    Et ça marche, aussi bien sur lui que sur moi. Sa cadence devient infernale. Je l’accompagne en poussant mon ventre à sa rencontre. Je vais jouir. Oh, on me tord les tétons. Les crapules, ils savent que je ne peux pas résister à cette caresse ! Il monte, il monte, explose dans un feu d’artifice que je ne maîtrise plus. Mon corps n’est qu’une bête avide de plaisir. Mon amant me bourre, me baratte ; sa bite de jeune homme doit transformer le jus de mon mari en crème épaisse qui pourrait bien se figer et se solidifier, emprisonnant pour l’éternité mon amant en moi.
    
    Mais il a la parade : son propre jus jaillit, lessive tout sur son passage pour marquer son territoire.
    
    Putain, que c’est bon cette générosité qui vient se mélanger à celle de mon mari ! Des flots de sperme doivent couler sur le lit, s’échappant en cascades de ma fente. Mais mon amant n’en a pas fini. Il aime aussi répandre une partie de sa sauce sur mon ventre, sorte de signature du locataire de la maison.
    
    Quelques minutes plus tard, nous reprenons notre souffle, allongés côte à côte sur le lit. Mon mari à ma droite, mon amant à ma gauche.
    
    J’ai l’impression de m’être endormie. Non, je n’ai pas rêvé ou fantasmé ce qui vient de se passer : je sens leur hanche contre les miennes, et mes mains sur leur ventre en est encore une preuve. Il me suffit de quelques centimètres pour retrouver leur sexe humide, mais tout mou, pauvre petite chose que je n’arrive ...
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