Les 1001 perversions de Nathalie (8) - La route du cul
Datte: 19/03/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Egrewam, Source: Hds
... jambe, se renverse contre la portière, lui faisant face. "Je suis une chienne en chaleur", se dit-elle, "et ça me plaît"... Elle tremble, maintenant ça l'excite à mort de s'exhiber devant ce mâle.
Il peut deviner son con à travers l’étoffe humide de l’empiècement qui pénètre entre les lèvres. Sans quitter l'homme des yeux, elle soulève son fessier, ses doigts coulent vers son cul. Son index presse sur la rondelle, plusieurs fois. Elle répète cette caresse obscène, elle offre son cul qui s'ouvre.
Les regards de plus en plus salaces de l'homme sur elle et son geste obscène, lui faisant comprendre qu'il se branle aussi la rendent folle. Elle ouvre son chemisier, découvre ses nichons, elle pince, triture les tétons bandés. Son odeur de femelle en chaleur l‘enivre, sa chatte est remplie de ses doigts qui s'enfoncent. Son petit slip est trempé, sa fente ouverte est grosse.
Son regard ne quitte plus celui de l'homme. Ses doigts s'enfoncent, frictionnent son entre-jambes de plus en plus vite, elle presse ses doigts habillés du tissu sur sa chatte brûlante, sur le clito en feu.
Lorsque l'homme tire la langue et simule un léchage, tout son corps se soulève, elle se raidit, ses jambes se crispent, son ventre se gonfle. L'orgasme la secoue, sa main se colle contre sa fente emprisonnant ses doigts au fond de sa chatte en ébullition. Sa mouille gicle, coule sur ses cuisses.
Elle retire ses doigts de son con, ils sont trempés. Et tout en regardant son voyeur, elle les porte ...
... à sa bouche et les suce l’un après l’autre. Le routier lui fait signe du pouce levé que le spectacle lui a plu.
Elle retrouve peu à peu son calme au moment où la file de véhicules se remet en mouvement. "Dommage" se dit-elle, "il a sûrement une belle grosse bite".
L'avalanche de tôle se traîne encore une demi-heure sous un soleil de plomb, Nathalie est en sueur, elle colle de partout. Lorsque elle voit le panneau annonçant une aire de repos avec service, elle décide de s'arrêter. Sur le parking, il n’y a aucune autre voiture et le petit resto est pratiquement vide. Deux retraités jouent aux cartes. Nathalie s'installe au fond de la salle, face à la table occupée par un Arabe, un grand sac à dos à ses pieds, un auto-stoppeur sans doute.
Elle va aux toilettes se rafraîchir, commande le menu. Tout en mangeant, elle observe discrètement l'Arabe. Il la mate sans vergogne. Et son regard lui rappelle Houssam. Une chaleur sournoise alourdit le bas-ventre de Nathalie… Houssam et sa grosse bite… Houssam l'enculant sur "le banc à fesser".
Alors elle se cambre un peu, dévoilant le haut de ses cuisses, ouvre doucement les jambes, les croise et les décroise, offre le spectacle de son entre-jambe.
Le regard de l'homme ne quitte plus ses cuisses. Elle sent ses tétons darder à travers sa blouse, elle sait qu'elle offre une vue imprenable sur sa petite culotte qui cache à peine son sexe.
Elle imagine qu'il a mille pensées lubriques. Sa culotte lui colle à la chatte, les joues ...