Premier libertinage pour Chloé et Sébastien - Histoires de Sexe

Premier libertinage pour Chloé et Sébastien

... ?

Quelques bras se lèvent. Clara désigne Anaïs.

— Eugène Delacroix. Une jeune femme aux seins nus qui brandit un drapeau.
— Bien, Anaïs ! Montre-nous donc.

Anaïs demande à Anthony de lui donner sa chemisette, ce qu’il fait aussitôt. Elle enlève corsage et soutien-gorge et les lui remet. C’est donc la poitrine nue qu’elle se dirige devant notre arc de cercle en brandissant la chemisette de son compagnon.

— Bien, dit Clara. À toi.
— La belle Gabrielle ?

Au bout de quelques secondes, trois bras se lèvent.

— Oui, Alex ?
— Une des maîtresses d’Henri IV.
— Mais encore ?

Silence.

— Je vous aide. École de Fontainebleau.
— Moi je sais, me chuchote Sébastien.
— Eh bien, vas-y !
— Tu l’auras voulu.

Il lève le bras.

— Ta réponse, Sébastien, ordonne Anaïs.
— Un tableau de l’école de Fontainebleau montre Julienne d’Estrées pinçant délicatement le téton de sa sœur Gabrielle. Elles ont évidemment toutes les deux la poitrine nue.
— Comme moi maintenant, et comme va l’être la toute charmante Chloé ta douce compagne, dont je vais pincer le téton.

Après tout, je les montre bien à la plage, mes seins. Ils sont d’ailleurs plus beaux que ceux de cette chipie d’Anaïs. Je me lève, pose mon corsage sur ma chaise, enlève mon joli soutien-gorge et rejoins Anaïs, qui pince doucement mon téton gauche.

— Non, intervient Sébastien, c’est le droit qui doit être pincé.

Elle change de téton.

— Encore faux, dit Sébastien, avec ta main gauche, Anaïs.
— Tu es ...

... sûr ?
— Absolument. Une reproduction de ce tableau décorait ma chambre d’étudiant.
— Tu te branlais devant ?
— Ça m’est arrivé.

Rires. Sébastien ne m’avait jamais dit ça. Anaïs pince mon sein droit avec son pouce et son index gauche. Mais cette fois elle pince fort et je ne peux pas m’empêcher de grimacer. Elle me murmure que je suis trop douillette et s’adresse à Sébastien :

— À toi de relancer le jeu…
— Devant ces charmantes jeunes femmes aux seins nus, comment ne pas penser à Margoton la jeune bergère ? Certains d’entre nous ont dû voir récemment l’émission de télé consacrée à Brassens. Anaïs et Chloé vont nous mimer Margot donnant la gougoutte à son chat. Je suis le chat.
— Attends, intervient aussitôt Anaïs, je vais mettre la chanson.

Et elle se dirige vers un lecteur de CD qui se trouve dans un coin de la salle. La voix de Brassens se fait entendre au bout de quelques secondes :

Margoton, la jeune bergère,Trouvant dans l’herbe un petit chatQui venait de perdre sa mère,L’adopta…Elle entrouvre sa colleretteEt le couche contre son sein.C’était tout c’qu’elle avait, pauvrette,Comm’coussin…Le chat, la prenant pour sa mère,Se mit à téter tout de go…

Elle revient. Sébastien, sans autre forme de procès, pose ses lèvres sur son téton droit, longuement, puis sur le gauche, longuement aussi. Je n’aime pas du tout ça. Mais lui :

— Qui veut faire le chat pour Chloé ?

Tous les garçons lèvent le bras, bien sûr !

— Qu’elle désigne donc l’heureux mortel…

Et ...