1. Elle s'appelait Margot


    Datte: 18/03/2020, Catégories: Hardcore, Masturbation BDSM / Fétichisme Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... »
    
    Elle a regardé son verre et répondu :
    
    « Ouais, mais je l’ai laissé tomber, il voulait qu’on fasse un gosse… »
    
    Le patron du bar a fait une apparition et il est venu vers nous. On s’est serré la main et il a fait deux bises à Margot.
    
    Je me souviens de la musique qui était diffusée à ce moment-là dans le lieu presque désert : un morceau que PJ Harvey interprétait au piano.
    
    J’ai dit à Margot :
    
    « Tu reprends un verre ? »
    
    Nous en avons pris deux autres, puis j’ai appris d’autres choses sur elle.
    
    Elle était restée presque une année avec son ex qui était également à la fac de socio. Elle allait avoir 20 ans dans quelques jours et nous avions le même signe astrologique. Elle aimait boire. Moi aussi. Et il y avait une image qui ne parvenait pas à quitter mon esprit, tandis que nous parlions : les tétons nus de Margot sous son tricot blanc, la première fois que je l’avais vue.
    
    Et j’étais à présent avec elle, assis au comptoir du même bar qui était sur le point de fermer.
    
    Nous en étions au quatrième verre ensemble quand je me suis décidé à lui dire :
    
    « J’ai une bouteille de blanc chez moi, ça te dit ? »
    
    Elle a dit :
    
    « Un blanc sec ou moelleux ? »
    
    J’ai répondu :
    
    « Moelleux. »
    
    Elle a remué la tête et dit :
    
    « OK. Tu habites où ? »
    
    Je lui ai expliqué que c’était à trois minutes de là et elle a répété :
    
    « OK. »
    
    Un quart d’heure plus tard, Margot prenait place dans mon canapé. J’ai mis de la musique en sourdine et débouché la ...
    ... fameuse bouteille. J’ai rempli deux verres à pied, je me suis assis à cinquante centimètres d’elle et on a trinqué. Deux mois auparavant, j’avais fait une fixation sur les tétons de cette nana, sous son tricot, et à présent elle était là, chez moi.
    
    Elle était ivre, et moi un petit peu aussi.
    
    Je l’observais.
    
    Elle parlait beaucoup. D’ailleurs, elle n’attendait plus que je lui pose de questions pour me raconter sa vie. Ça ne me dérangeait pas. J’éprouvais du plaisir à la regarder. Je l’écoutais à peine.
    
    Et je ne sais pas combien de verres de vin nous avions bus lorsqu’elle m’a dit comme ça :
    
    « J’ai récupéré plein d’échantillons. »
    
    Je ne savais plus de quoi elle parlait. Cela faisait au moins un quart d’heure qu’elle me racontait sa vie, sans que je l’écoute vraiment, et j’avais perdu le fil de la conversation.
    
    Je lui ai dit :
    
    « Des échantillons de quoi ? »
    
    Elle m’a fixé dans les yeux et répondu :
    
    « Ben, des capotes. »
    
    Voyant que je ne réagissais pas, elle s’est penchée sur son petit sac à main et s’est mise à fouiller dedans. J’avais vraiment perdu le fil.
    
    Puis elle a sorti une première capote sur ma table basse. Une espèce de chose fantaisiste, informe.
    
    Et une deuxième.
    
    Les deux étaient sous cellophane.
    
    Il y avait une tête de Mickey Mouse et une autre de monstre. Mais elle continua à en sortir. Une rose fluo à l’embout hérissé de tentacules et une verte aux allures de cactus. Margot souriait.
    
    Et je me souviens qu’elle m’a dit comme ça ...