Enfin l'extase - Histoires de Sexe

Enfin l'extase

... J’aime me faire mal. Je l’ai forcée à me dire qu’il la baisait mieux que moi d’abord parce que c’est vrai, et aussi parce que ça me fait mal. Et après qu’elle a osé me le dire une fois, elle n’a plus nié. Avouer lui a fait du bien.

La plus grande de mes souffrances, encore que d’autres plus lourdes sont ensuite venues, je l’ai obtenue alors que nous faisions l’amour. Elle semblait y prendre du plaisir, mais rien à voir avec ces tableaux qu’elle me donnait à voir lorsqu’elle était avec lui.

— Marie, j’aime ta peau. Que tu es douce !
— Oui, viens, tu me fais du bien.
— Mon amour, je vais pas tarder à jouir.
— Oui mon chéri, vas-y, fais-toi plaisir.
— Oh oui, mon amour. Mais toi, tu vas rester en plan.
— T’inquiète pas, lâche-toi.
— Mais si c’était Kamel, là, à ma place, tu prendrais ton pied.
— Arrête ! on est tous les deux, là.
— Oui je sais, mais tu prendrais plus de plaisir avec lui.
— Je sais pas.
— Marie arrête, sois honnête. Dis-moi qu’il te baise mieux que moi.
— Oui, si tu veux.
— Non, Marie, pas si je veux. Dis-moi la vérité.

Je pense qu’à cet instant, parler de Kamel l’a transcendée. Alors que je la sentais à peine présente jusque-là, Marie se mit à se tortiller. Je compris qu’une vague de jouissance arrivait. Pas en raison de ce que je lui faisais, non, mais parce que nous parlions de lui et qu’elle devait l’imaginer entre ses cuisses. Alors je me suis arrêté tout net.

— Pourquoi tu t’arrêtes, j’allais jouir…
— Je sais, oui. En pensant à ...

... lui,
— T’es con ou quoi ?
— Non Marie. Tu pensais à sa grosse queue, tu pensais à ses caresses, tu pensais à lui. C’est pour ça que tu allais jouir. Dis-le-moi. Dis-moi la vérité.

Marie ne répondit pas tout de suite. J’avais néanmoins repris lentement des mouvements de va-et-vient profonds, et la fixait dans les yeux.

— Allez mon amour, dis-moi la vérité et j’accélère.
— Non.
— S’il te plaît.
— Tu l’auras voulu. Oui j’aime sa grosse queue et je ne pense qu’à ça. Oui, je jouis plus fort avec lui qu’avec toi. Avec toi, c’est bon. Avec lui, c’est extraordinaire.

J’accélérais le mouvement au rythme de ses mots, excité moi-même par ce qu’elle me disait.

— Ah… continue mon chéri, je vais jouir en pensant à lui. Ouiiii, je viens, je jouiiiiis.

Je me suis assis à côté d’elle. Elle avait les yeux fermés, sans doute honteuse de ses aveux forcés. Je me branlais en détaillant son corps de déesse, attendant qu’elle ouvre enfin ses yeux. Lorsqu’elle le fit, je continuai à me masturber lentement, en lui parlant.

— Merci de m’avoir dit la vérité mon amour. Merci infiniment. Ça me plait que tu jouisses avec lui, que tu prennes un max de plaisir avec lui. Ça me plait que tu me le dises. Ça m’excite à mort qu’il te jouisse dans la chatte. Ça m’excite à mort que tu le lui demande à chaque fois. Je me branle souvent quand je suis seul en pensant à toutes ces images. Dis-moi le reste maintenant mon amour. Je veux jouir en t’écoutant. Dis-moi tout.

Marie sembla surprise, mais ...