RETOUR SUR GAGE
Datte: 18/03/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
... queue de cheval et laisse mes longs cheveux blonds, tombés sur mes épaules. je soulève un peu mes seins et je défais un bouton de plus à mon chemisier, pour lui donner un décolleté plus que provoquant.
Tout ce cirque provoque un éclat de rire dans la voiture. Du bout de l’index, j'envoie un baiser à mes amies, leur tourne le dos et commence mon périple vers le bout de la route, là bas, tout là bas.
Sans trop tourner la tête, je tente de voir dans les sous bois à ma droite. Quitte à être vue, j’aime autant le savoir. Mais c’est de ma gauche qu’une voix me fait sursauter.
« Hé ! Mademoiselle ! »
Un jeune type en voiture, lunettes noires, bras à la portière, me fais de grands sourires. Je me sens glacée, d’un coup.
Regardant droit devant moi, je continue à marcher. Il enclenche la marche arrière et recule pour revenir à ma hauteur.
« Ho ! Tu pourrais répondre, non ? C’est combien ? »
Mes jambes se mettent à trembler, ma gorge se serrer.
Loin derrière moi, j’entends la voix de Mélanie qui crie et qui rie.
« Ouaiiii ! Vas-y Coralie ! Ha ha ha ! »
Je stoppe net, me tourne vers la voiture et la voix chevrotante je dis :
« J’suis pas une pute, laissez moi tranquille ! »
Puis sans plus attendre, je reprends mon chemin.
Le jeune fait crisser ses pneus, me lance un magnifique « Connasse ! » et disparaît derrière moi.
Je me surprends à sourire.
Je me retourne et au loin je vois mes amies sauter de joie, les pouces en l’air. Mais, de leurs ...
... gestes, elles me font vite comprendre que je ne dois pas revenir et continuer jusqu’au bout. Au risque qu’elles puissent m’obliger à refaire le parcourt, je préfère continuer.
Plus loin, dans une voiture en stationnement, un type lit son journal. Plus je m’approche et plus je distingue ses yeux qui sont bien plongés, mais plus dans son journal. Il me déshabille du regard et malgré les précautions qu’il prend, ça se voit.
J’ai envie de reboutonner quelques boutons de mon chemisier, mais se serrait avouer que je le trouve trop ouvert, alors, je m’abstiens et je passe près du véhicule, ma main crispée à la lanière de mon sac, priant le ciel pour qu’il ne me dise rien, ou qu’il ne descende pas de voiture pour m’aborder.
Voilà. Je suis passée. Je l’imagine reluquant mon cul dans le rétroviseur. A cette idée, j’ai l’impression que mes fesses roulent comme celui des mannequins qui défilent. Je me redresse et tente de marcher le plus naturellement possible, mais je sens très vite que ma démarche est encore plus ridicule, tant elle est forcée.
J’essaie de me calmer, de me détendre. De plus, je ne suis plus très loin et j’aperçois une fontaine. La perspective de pouvoir boire un peu d’eau, après toutes ses émotions, me réjouie.
Soudain, à quelques mètres de moi, un homme descend de sa voiture et va s’asseoir sur un banc, tout près. Il va me falloir passer devant lui si je veux atteindre la fontaine. Tandis que la distance se réduit, le rouge à mes joues augmente.
Bien que ...