1. La story dont vous êtes l'héroine (1)


    Datte: 17/03/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Désolation, Source: Xstory

    Je voulais tenter un nouveau type de récit, s’il vous plaît n’hésitez pas à me faire des retours ou me dire si vous aimeriez que j’inverse les rôles (homme/femme). Bonne lecture à tous ^^
    
    Nous sommes au restaurant japonais, après un apéro chargé, nous mangeons en nous dévorant des yeux. Je porte une chemise grise, et toi une petite robe noire qui dévoile un décolleté aguicheur, attirant mon regard grâce à tes formes généreuses. Tandis que nous mangeons, je me dis que je t’aime et que tu es ravissante. J’ai envie de toi. Tu es la plus belle et la plus désirable à mes yeux. Tu me dis que ce sont les yeux de l’amour, je te réponds que peut-être, mais le résultat ne te convient-il pas. Tu me lances un "t’es mignon" en m’abandonnant pour aller aux toilettes.
    
    Après un moment qui me paraît interminable tu reviens à table avec le sourire, prends ta serviette, y déposes quelque chose et me le tends. J’attrape la serviette en papier et l’ouvre. J’aperçois alors un string de couleur rouge, celui que je t’avais aidé à choisir. En regardant bien j’aperçois la bretelle de ton soutien-gorge qui est de la même couleur. Mon sang ne fait qu’un tour. Cette culotte c’est celle que tu portais lorsque nous sommes arrivés. Tu ne portes donc rien sous cette robe. Il n’y a rien qui pourrait m’empêcher de te prendre là maintenant. Je regarde autour de moi, d’autres gens mangent et ne semblent pas se rendre compte de l’excitation que tu viens de me procurer.
    
    Tu sais que je ne me suis pas ...
    ... touché depuis deux semaines et que c’est difficile de maintenir le calme en moi. Je range dans ma poche ton string, c’est ma récompense, il est à moi maintenant. Je me penche en avant pour que ma main puisse caresser ton genou, puis remonter vers ton entrejambe que je sens très brûlante. Cependant, même en étirant mon bras je ne peux aller plus loin que tes lèvres que je titille néanmoins, confirmant que tu ne portes rien. Quelle petite coquine.
    
    Je t’aime, je t’aime de tout mon cœur, mais ce niveau d’excitation est telle que je te prendrais comme un morceau de viande, comme une petite pute qu’on démonte jusqu’à ce qu’elle soit rassasiée. Je perds tout sens commun, c’est étrange ce sentiment. T’aimer de toute mon âme et vouloir te baiser avec rage. Cependant dans ce restaurant je ne peux rien faire, et tu n’as pas fini de manger et compte me faire patienter. Tu as un grand sourire que j’aimerais croquer, mais ici je ne pourrais pas. A chaque bouchée que tu ingurgites je devine ta langue savourer le met, et ta bouche avaler avec délice tandis que tu me mets au supplice.
    
    Une idée me prend alors, j’attrape une baguette, l’essuie, puis la passe sous la table. Je caresse tes cuisses avec, puis longe cette dernière. Je caresse tes lèvres moites avec douceurs, juste pour te donner l’envie. Je vois à ton visage que la baguette pas loin de ton clito. Je tourne autour, tu regardes tout autour, tu n’arrives pas à garder un visage impassible, tu respires plus fort. Tu te crispes, j’ai ...
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