1. Chez notre logeuse (3)


    Datte: 17/03/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... fasses pardonner.
    
    — - - J’ai trouvé tous les soirs quand il va rentrer du boulot, il va venir nous voir et nous faire notre toilette intime.
    
    — Toi qui aimes les odeurs intimes de femmes, tu vas être gâté.
    
    — - - Ne t’inquiète pas nous allons trouver des petites choses supplémentaires pour te punir.
    
    Franck ne savait pas quoi dire, il avait écouter avec attention tout ce que l’on venait de lui dire, il paraissait résigné. J’étais étonnée par l’assurance que Sophie et moi avions face à cet homme un peu dévergondé. Le fait qu’il renifle nos culottes ne nous dérangeait pas, ce qui nous gênait c’est qu’il fasse ça en cachette. Je peux vous garantir que c’était vraiment désagréable que de récupérer nos culottes dans le bac à linge sale encore poisseuses du sperme de Franck avant de les laver.
    
    J’ai aussi été un peu étonné par la fermeté des propos de Sophie, d’autant qu’elle venait de décider que Franck allait commencer dès maintenant le nettoyage quotidien de nos minous. Nous l’avons fait lever et se mettre face à nous, puis s’agenouiller devant nous, je ne sais pas si c’était un hasard; mais ce soir-là ni Sophie ni moi n’avions de culotte. Il a commencé par s’occuper de Sophie en plongeant sa tête sous sa longue jupe, pour m’y être glissée bien souvent, je savais que cela sentait la marée. À travers le tissu de la jupe, ma chérie lui tenait la tête et notre victime commençait à donner des coups de langue car je voyais Sophie qui commençait à soupirer. Franck était ...
    ... très obéissant, il faisait tout ce qu’on lui disait et vu comment Sophie ondulait du corps, manifestement il était efficace. Ma partenaire a commencé à pousser de petits cris puis elle l’a fait sortir d’entre ses jambes, je l’ai regardé un instant il avait le visage recouvert de la cyprine de mon amie. Bien qu’il fasse un peu pitié dans son regard, on avait quand même l’impression qu’il appréciait beaucoup ce qu’il était en train de vivre. Je l’ai saisi par les cheveux pour le faire plonger sous ma jupe à moi maintenant.
    
    J’étais étonné de voir combien ce collègue de Muriel était soumis à nos délires sexuels, je n’ai pas été bien longue à constater combien il était efficace avec sa langue. Ce jeune homme était un gros vicelard mais il était monstrueusement efficace à donner du plaisir à une femme. Sophie venait de reprendre ses esprits et elle est venue débarrasser, mon brouteur de minou, de sa culotte pour jouer avec son sexe. Pendant que je me faisais butiner la friandise, je constatai oh combien l’aménagement de sa chambre était rustique, pas une seule photo, pas un seul grigri; il avait l’air vraiment triste dans la vie. De notre côté nous avions décoré nos chambres, nous avions amené de belles parures de lit, et nous avions affiché des photos de ceux qui nous étaient proches. Maintenant, Sophie était carrément en train de le masturber, le bougre n’avait pas l’air de s’en plaindre; cela nous rappelait l’époque où nous étions à La Roche-sur-Yon, que nous voyions le loup ...
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