Le nouveau voisin (1)
Datte: 15/03/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... me réveille allongée sur lui, un sourire béat aux lèvres. Je suis essoufflée, étourdie. Ses mains parcourent mon corps affectueusement, je crois que je suis en train de tomber amoureuse. C’est idiot, mais je réalise seulement maintenant qu’il n’a pas joui.
— J’ai encore envie me dit-il.
— Moi aussi.
J’en veux plus ! Beaucoup plus ! Je voudrais qu’il me prenne toute la nuit ! Il me demande si j’ai une nouvelle position à lui suggérer, sans plus attendre, je me mets à quatre pattes, les fesses devant lui.
— Comme ça, ça te va ?
Il ne me répond pas, mais je l’entends s’affairer derrière pour se mettre en position. Je devrais avoir honte de m’offrir ainsi, mais j’ai perdu toute notion de pudeur. J’en ai marre d’être une fille bien. Je suis tellement excitée que j’ai cessé d’être une humaine. Je veux être une chienne, sa chienne.
Il m’enfile et se met à me limer en me tenant par les hanches. Je perds la tête. Ma chatte lubrifie son sexe comme une invitation à me prendre plus fort. Il me possède bien comme il faut. Il me donne des coups secs et bruyants. Il me fait sentir combien sa queue a faim de mon vagin. Il est devenu aussi animal que moi. Ce n’est plus un homme, c’est une bête.
— Oui ! Vas-y ! Défonce-moi bien.
Il augmente son rythme sous mes encouragements. Je prends un plaisir monstrueux, je sens que mon prochain orgasme n’est déjà plus très loin, et qu’il risque d’être encore plus violent que le précédent.
— Tire-moi les cheveux !
— Quoi ? ...
... fait-il en ayant peur d’avoir mal entendu.
— Tire-moi les cheveux !
— Tu es sûre ?
— Oui, j’aime ça.
Je veux qu’il me fasse sentir sienne. Il s’exécute, il me fait relever la tête. Il est tellement gonflé à bloc qu’il enchaine sur une petite fessée, je frémis. Je suis à moitié consciente, c’est juste trop bon. J’ai envie de me faire sauter comme la dernière des cochonnes.
— Mya ! Mya ! geint-il au bord du désespoir.
Lui aussi semble bien s’éclater ! Lorsqu’il relâche son étreinte, je m’affale le torse écrasé, la tête dans l’oreiller. Il m’utilise comme son petit trou pour se faire du bien, et je ne demande que ça. Je me sens salope, vraiment salope.
Il change de position en prenant de l’appui sur la pointe des pieds. Il me monte, ou plutôt, il me démonte.
— Aah, Mya, je n’en peux plus. J’ai envie de jouir.
— Oui, vas-y. Tu peux jouir dans ma chatte.
— C’est vrai ? Je peux ?
— Oui. Quand tu veux. Ne te retiens pas, tu l’as bien mérité.
Je mouille tellement que ma chatte fait des clapotis à chacun de ses allers-retours. Je n’arrive plus à parler. Je veux qu’il me finisse, qu’il SE finisse. Ses assauts sont de plus en plus violents, tout mon corps vibre sous ses coups ; il doit être à l’agonie. Je me régale de ses soupirs saccadés, quand tout à coup, je l’entends grogner comme un ours. Il se fige tout au fond de ma chatte, je sens ensuite son liquide chaud me remplir. Me rendre compte qu’un homme éjacule pour moi, et que j’ai le vagin qui se ...