Les vacances d'Aurélie - Histoires de Sexe

Les vacances d'Aurélie

... pas cru.
— Moi non plus, mais quand on y met autant de bonne volonté que toi, ça aide. Parce que pour ce qui est de te faire mettre y a pas besoin de te pousser. Tu es une sacrée petite dévergondée, comme je n’aurais pas imaginé.

Aurélie est troublée d’entendre Bernard parler ainsi, mais elle doit reconnaître qu’elle ne peut le contredire, car depuis ce fameux soir où elle a eu le dos griffé, elle se conduit comme une salope et pas une petite. Qu’est-ce qu’il lui prend de se conduire ainsi ? Elle accepte des choses qu’il y a peu elle a ou aurait refusées à ses petits copains avec hauteur. Et pour être honnête, même plus qu’acceptées, réclamées souvent. Bernard la tire de ses pensées :

— Bien, puisque ça y est, tu vas le garder.
— Le garder ?
— Oui, pour la nuit.
— Mais je ne peux pas le gar…
— Si tu peux, et tu vas le faire. Allez ouste, obéis, l’interrompt Bernard en lui donnant une nouvelle claque sur les fesses.

Bernard ne se reconnaît pas à presque malmener la jeune fille, mais il est curieux de voir jusqu’où elle va obéir. Et il voit, Aurélie ne discute pas plus avant et se glisse dans son lit sans même se laver, ni passer une chemise de nuit et s’allonge sur le côté, sur le dos doit être un peu délicat. Il lui donne un baiser sur le front et lui souhaite bonne nuit. Il retourne sous la douche avant de rejoindre sa chambre.

Il est couché depuis deux heures quand on frappe à sa porte. Dans un demi-sommeil, il répond :

— Entrez.

Aurélie, toujours ...

... nue, pénètre dans la pièce. D’une voix un peu altérée elle demande :

— Est-ce que je peux le retirer ? Ça me gêne beaucoup.

Il ne veut pas la tourmenter si elle ne consent, ni surtout qu’elle risque des lésions, aussi répond-il :

— Bien sûr. Il ne faut pas te forcer. Veux-tu que je le fasse ?
— Oui s’il vous plaît. Merci.
— Allons dans ta chambre.

Il se lève et la suit. Elle avance d’un pas circonspect. Arrivée à destination, elle s’agenouille et écarte ses fesses. Par précaution, il fait couler un peu de lubrifiant et commence par tourner un peu le plug. Puis, toujours le faisant pivoter, il tire doucement. L’anneau se distend graduellement, laissant partir comme à regret l’intrus. Il finit par laisser sortir la première boule. Les deux suivantes suivent dans la foulée. Bernard est fasciné par l’anus dilaté qui se resserre lentement. Il regarde s’il n’y a pas de saignement. Non, il est rassuré. La miss a des dispositions. Elle se redresse lentement et lui dit :

— Merci.

Il lui conseille :

— Tu devrais aller te rafraîchir.
— C’est une bonne idée.

Elle se lève. Il lui tend le gode en lui disant :

— Profites-en pour le laver.

Elle s’empare de l’objet et se dirige vers la salle de bain d’un pas plus assuré. Il la laisse ablutionner et retourne se coucher.

Le lendemain matin, il a un peu de mal à émerger quand le chat, trouvant que décidément il traîne trop, réclame à manger. Sur sa lancée, il prépare le petit déjeuner. Il commence à boire son ...