Les vacances d'Aurélie - Histoires de Sexe

Les vacances d'Aurélie

... projection ?

Aurélie, qui est sur son petit nuage, répond naturellement :

— Oui, vachement. Elle n’en revenait pas.
— C’est bien ce que je supposais. Tu lui as donc montré le film. Tu ne crois pas que j’aurais eu mon mot à dire ?

Aurélie réalise que dans le feu de l’action elle a avoué ce qu’elle aurait voulu taire. Cela calme ses ardeurs. Elle se fige et bredouille :

— Euh… oui, euh… bien sûr… mais… mais elle ne voulait pas me croire… alors j’ai voulu lui clouer le bec.
— En lui montrant le film.
— Eh ben oui… je… je n’ai pas pensé…
— Pour n’avoir pas pensé, tu n’as pas pensé. Et tu as l’intention de raconter tes parties de jambes en l’air à toutes tes connaissances et de leur prouver images à l’appui que tu te conduis comme une libertine bien cochonne. Tu vas peut-être même le mettre sur Internet.
— Non ! Non ! Je suis désolée. Ça ne se reproduira pas. Je ne vais pas raconter ça à tout le monde. Il n’y a qu’à Martine que je raconte, c’est ma meilleure amie.

En disant cela, elle repense à ce que lui a dit celle-ci avant l’arrivée de Bernard. L’idée ne l’effarouche plus autant. Elle la trouve même assez tentante. Après tout elle n’avait pas détesté lorsqu’il lui avait administré ces quelques tapes sur le postérieur. Elle enchaîne :

— J’ai fait une bêtise.
— C’est vrai.
— C’est vraiment une grosse bêtise.
— Alors ne recommence pas.

Voyant qu’il n’a pas saisi la perche qu’elle lui tendait, maintenant qu’elle est décidée, elle insiste :

— Je ...

... suis une vilaine fille qui a fait une grosse bêtise. Et même plus qu’une grosse bêtise, une grosse faute.

Une lueur se fait dans le cerveau de Bernard.

— Et toute faute mérite d’être sanctionnée.
— Il faut savoir assumer ses erreurs et en accepter les conséquences.

Pour Bernard le doute n’a plus guère de place. Eh bien puisque la demoiselle se déclare prête à « expier »… Il retire le gode des endroits où il était fiché, la redresse et l’attire sur ses genoux. Elle n’oppose aucune résistance et participe même. Il regarde le derrière rebondi, le caresse longuement. Elle frissonne. Brusquement la première claque s’abat. Malgré tout surprise elle sursaute et lâche un petit « Oh ! », mais ne manifeste aucune velléité à se soustraire.

Les claques suivantes se succèdent, tantôt fortes, tantôt plus légères, tantôt crépitantes, tantôt espacées. Le cul de la donzelle rosit et même rougit un tant soit peu. Bien que cela la cuise un tantinet, elle prise la chose. Elle éprouve un certain plaisir à se faire ainsi tanner les fesses, le côté quelque peu humiliant de se faire traiter ainsi, y participant.

Jugeant que la coloration du cul d’Aurélie suffisante, il cesse la « punition ». Sa main qui commence à chauffer aide à cette décision :

— Bon ! Ça suffit. J’espère que ça te servira de leçon et que tu réfléchiras un peu plus avant d’agir.
— J’essaierai, répond-elle en se passant la main sur les fesses.

Cette réponse le laisse dubitatif. Il se demande si la donzelle ne ...