Masturbation malsaine (5) - Histoires de Sexe

Masturbation malsaine (5)

... que j’avais en tête. Mieux encore, elle en avait envie. Désormais, mon visage n’était plus qu’à quelques centimètres de son vagin et j’y plongeais ma langue. Elle poussa alors un soupir de désir pour exprimer sa surprise et sa satisfaction. Je léchais les parois de cet antre interdit par les tabous de l’inceste... mais ce n’était pas de l’inceste. Ce n’était pas le même sang qui parcourait nos veines. La seule chose que nous avions en commun, c’était la furieuse envie de coucher ensemble. Rien de moins.

Lola avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Ses dents blanches mordillaient sa lèvre inférieure pour l’empêcher de crier. Mais moi, je voulais la faire crier. J’intensifiais mes caresses et entamais une succion quand je sentis quelques gouttes de cyprine se déposer sur ma langue. Ma "sœur" ne pouvait ignorer qu’elle était en train de mouiller et tandis que j’avalais ce jus de vulve, elle lâcha un puissant jouissement. Ma respiration s’accéléra et mon pénis, déjà bien bandé, décupla de volume. C’était le moment de passer à l’acte.

Sans prévenir, je me relevais et dirigeais mon sexe bien tendu vers le vagin de Lola. Je l’empalais littéralement. Elle poussa un cri de douleur et ouvrit les yeux. Son regard croisa le mien, et je ressentais alors en celui-ci un mélange d’excitation et de peur. Elle était vierge.

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Personne ne peut imaginer la sensation ...

... que j’ai éprouvé lorsque le sexe de mon "demi-frère" pénétra mon vagin la première fois. C’était un mélange de plaisir, de satisfaction après toutes ces années de chasteté, mais aussi de honte et de peur. Je réalisais que nos relations ne seraient plus jamais les mêmes et que nous serions condamnés à vivre avec ce souvenir. Ma première baise, je l’aurai faite avec mon frère. Nous ne pouvions plus revenir en arrière. Que deviendrions-nous ? Un couple ou juste un "frère" et une "sœur" couchant ensemble dans le plus grand secret ?

Ses questions quittèrent bien vite de mon esprit tandis que je me focalisais sur les va-et-vient de mon frère. Son épaisse verge déchirait mes entrailles avec une force herculéenne. Une larme coula le long de ma joue alors que je m’efforçais de réprimer les petits bruits qui sortaient aléatoirement de ma bouche. Puis, il s’allongea sur moi pratiquer au mieux cette position du missionnaire et m’embrassa. Cet acte purement optionnel en disait beaucoup. Nous nous embrassions comme un vrai couple. Je prenais alors conscience que ce que je subissais : ce n’était pas un rapport forcé, mais bien consenti.

J’étais en chaleur, nos corps suintaient de transpiration. Les jambes écartés, j’entreprenais de faire trembler mon bassin pour accompagner les coups de queue. Mon frère effectua une roulade complète et se retrouva de fait en dessous de moi. J’étais désormais en train de le chevaucher. Je sautais littéralement sur sa queue pour augmenter le plaisir en ...