1. Eline, ma confidente. (1)


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Jeunecoquin44, Source: Xstory

    ... pas des yeux jusqu’à ce que tout soit sorti, hampe et testicules.
    
    Je suis toujours aussi mal à l’aise et, espérant que je vais pouvoir en rester là, je lui dis :
    
    — Voilà, mon outil !
    
    — Masturbe-le...
    
    — Tu le veux vraiment ?
    
    — Oui, vas-y.
    
    Pour cacher mon trouble, je prends le ton détaché du scientifique qui commente une expérience et je commence :
    
    — Pour se masturber, il faut que le pénis soit raide, en érection, puis on fait des mouvements de va-et-vient...
    
    — Allez, branle-toi, je veux voir comment tu te branles.
    
    C’était la première fois que je l’entendais utiliser le mot "branler" et non pas "masturber", et je ne sais pas pourquoi, mais brutalement, j’ai cessé de me sentir embarrassé et mon malaise a disparu. Brusquement, ce n’était plus un devoir imposé ou une démonstration obligatoire, mais un plaisir personnel, un bon coup pour prendre mon pied.
    
    — Caresse-moi, fais-moi bander.
    
    À son tour d’hésiter. Sa main avance et recule, elle n’ose pas poser sa main sur mon sexe, maintenant qu’il est sorti et qu’elle l’a juste devant elle. Je guide sa main jusqu’à moi. Le contact est électrique, la hampe se redresse, gagne en longueur, en diamètre et en rigidité. Je pousse un peu sa main sur mes couilles et je commence à me branler, lentement, en tirant bien la peau en arrière et en la ramenant complètement en haut. Eline semble fascinée, puis elle se met à me caresser doucement les couilles d’une main légère et des picotements me parcourent le ...
    ... ventre. J’accélère un peu le rythme, ma main serrée sur mon dard monte et descend. Il me vient une idée :
    
    — À toi maintenant, je vais t’apprendre à branler un garçon.
    
    Je prends sa main. Elle se laisse faire et je la pose sur la longueur de mon sexe et referme ses doigts dessus. J’entoure sa main de la mienne pour lui donner le rythme, en haut, en bas. Je lui fais serrer ou desserrer un peu sa prise, insister quand la main recouvre le gland. Rapidement, elle trouve les bons gestes.
    
    Je veux la caresser en même temps, mais quand mes mains tentent de passer sous sa jupe et de franchir le barrage de sa petite culotte, elle m’arrête d’une main et me dit :
    
    — Non mon gros cochon. Aujourd’hui, c’est de toi qu’il s’agit.
    
    Bien entendu, j’insiste, mais elle cesse de me masturber et me déclare:
    
    — Puisque c’est comme ça, va te branler tout seul dans les chiottes...
    
    Encore quelques secondes d’explications et j’abandonne mes tentatives sur Eline.
    
    — Fais-toi jouir, je veux voir.
    
    Je me branle plus rapidement pour atteindre l’orgasme et Eline masse doucement mes couilles.
    
    — Ça va venir !
    
    — Comment ça te fait ?
    
    — Je sens le jus monter ; c’est bon. Je le retiens encore un peu, mais ça ne va pas durer !
    
    — Où ça monte ?
    
    — Dans mes couilles et dans le ventre. C’est tout gonflé et sous pression. C’est comme si ça allait exploser.
    
    Et ça vient ! Je jouis avec violence, j’en ai le souffle coupé et Eline ne quitte pas la scène des yeux une seconde. Avec des ...