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En Famille... Fin
Datte: 14/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: ANDRERP95, Source: Hds
... suis revenu à la réalité du moment. Xavier regardait mon sexe. Je commençais à bander. - Mais t'as l'air d'aimer çà toi. … Viens Je l'ai suivis. Il marchait souplement malgré sa carrure. Il avait même des poils sur les fesses. Nous nous sommes retrouvés dans la chambre d'ami. Il m'a laissé passer devant lui. M'a donné une tape sur une fesse. - Fous-toi sur le pieu ma poule. Il bandait. Moi aussi. Je me suis couché à plat ventre sur l'édredon, jambes bien écartées. Il s'est couché sur moi. Le lit à grincé sous notre poids. J'ai deviné qu'il enduisait sa bitte de salive. Il était lourd, très lourd. Sa queue cherchait mon trou. Elle l'a trouvé rapidement. De la salive sur mon anus. J'ai sentis son gros gland collé contre ma corolle. - On y va ma poule Son torse écrasait mon dos, ses grosses paluches agrippaient mes épaules. Je restais inerte sous lui, attendant son bon vouloir. Son gland m'a ouvert lentement le fion. J'ai serré les dents. La bitte entrait en moi. Sa salive ne lubrifiait pas assez mon trou. J'ai poussais de petits gémissements de douleur. - Fais pas ta mijaurée salope. Ton cul est aussi ouvert qu'une chatte de femme. Je vais te la mettre à fonds mon pote. Sa bitte occupait mon fondement. Ouvrait mes reins. Trouvait son chemin dans mes intestins humides. Me possédait au plus profonds de mon intimité. Elle me semblait interminable. Mon cul l'avalait avec difficulté. Son gros gland allait de plus en plus loin dans mes reins ...
... offerts. - T'a le trou vachement profond. On sent que tu as l'habitude. Enfin, son pubis s'est collé contre mes fesses. Il était empalé en moi jusqu'aux couilles. Son corps écrasait le mien. Ses poils grattaient mon dos. Il n'a plus bougé. oooOOooo Cela est arrivé dix jours après notre conversation. Au cours d'un week-end à la campagne. Un samedi en début de soirée. Nous étions lovés l'un contre l'autre devant le feu qui brûlait dans la cheminée quand on a frappé à la porte. Notre maison était isolée et personne ne devait venir. J'ai été ouvrir. Un type m'a expliqué qu'il était en panne et demandait l'autorisation de téléphoner. Je l'ai fait entrer. Véro l'a dévisagé. Pendant qu'il parlait au téléphone, Véro lui a servis un verre. Il s'est assis sur le canapé car un garagiste devait le rappeler. Le destin était l'ami de ma femme. Je n'ai pas compris tout de suite pourquoi Véro souriait. Et quand je l'ai compris, il était trop tard. Sur le guéridon, devant la cheminée, il y avait un tube de gel et le god. Elle avait oublié de le cacher. Peut-être qu'elle n'avait pas voulu le cacher. Vas savoir. Le type l'a regardé mais n'a rien dit. Il ne semblait même pas gêné. Le garagiste a rappelé. Je savais déjà que le dépannage serait impossible ce soir. Je l'aurai parié. J'aurais aussi gagné si j'avais parié que ma femme l'inviterait à rester. Et j'aurais encore gagné quand il a accepté avec empressement. Le destin se liguait contre moi. Les dés étaient jetés. Face à tant de ...