On n'est jamais à l'abri d'une surp
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
Anal
Auteur: pompier37, Source: xHamster
... arriver jusqu’à la garde. Il est resté quelques minutes sans bouger, haletant comme une bête, puis il a commencé son va et vient, d’abord doucement, puis de plus en plus vite… Je sentais ses couilles battre contre mon clitoris, m’arrachant de petits cris à chaque poussée. Il me défonçait littéralement, ses grosses mains posées sur chacune des petites fesses, qu’il n’oubliait pas de claquer à intervalles irrégulier…
Sensation étrange, la douleur se mêlait au plaisir… Bien que j’avais déjà pris trois queues dans mon cul avant, celle-ci était malgré tout plus épaisse. Soit ! Me caressant le sexe en même temps qu’il me défonçait me petit trou, j’atteignis rapidement l’orgasme, pour la deuxième fois entre ses mains…
Là, il s’est retiré lentement pour se relever et approcher sa queue (bien dressée à présent) de ma bouche ; je savais ce qu’il voulait… J’ai obtempéré sans broncher et j’ai ouvert grand ma bouche pour accueillir les salves de cette liqueur à laquelle j’avais pris goût, à présent. Je voulais son jus. Il m’a agrippé le chignon pour me baiser la bouche et, après quelques aller et retour, il expulsa son sperme dans ma bouche… – Rhaaaa Hoheuuu … ! Les jets de sperme frappaient ma langue et j’avalais, consciencieusement, rasade par rasade, ce foutre épais et crémeux que j’avais tant espéré avaler dès l’instant où j’ai compris qu’il allait me baiser… Il devait avoir les couilles pleines, parce que j’ai eu de mal à avaler tout facilement…Qu’importe, j’avais eu ce que je ...
... voulais. Et lui aussi.
Il a reculé, chancelant pour aller s’appuyer de dos sur les barres de bois de la salle, essoufflé. Moi, je le détaillais, de se tête en sueur, à ses pieds, toujours en chaussettes blanches, jaunies aux orteils. Quel monstre, pensais-je…
J’ai enfilé mon legging qui était au fond de mon sac, mon pull, mes baskets sans faire mes lacets ; je voulais partir, vite. Je l’ai regardé, sa queue était encore bien droite (quelle endurance, ais-je pensé…), puis, il a grommelé – Tire-toi ! Et je suis partie, sans demander mon reste.
Je me suis rhabillée en vitesse dans le couloir toujours dans la pénombre, je suis passée devant un miroir au pied des escaliers. Rapide coup d’œil à mon apparence, j’étais rouge, en sueur, avec encore du foutre sur le menton. Ohlala, quelle histoire… Quel pied, surtout ! J’avais eu exactement ce que je voulais…
Impossible de m’asseoir dans le bus tellement la peau de mes fesses rougeoyait et que mon anus était endolori… Je regardai l’heure : 12h17, Cédric m’avait dit qu’il m’attendrait pour manger, rares paroles échangées entre nous ces dernières semaines. Hébétée quelque peu, j’étais soulagée de n’avoir croisé personne dans mon état…
J’arrive à l’appart’, je monte machinalement, j’ouvre la porte, Cédric se lève et se dirige vers moi. – Ça va, Sophie ? T’as pas l’air bien…
– Si, ça va, répondis-je, le regard dans le vide. Machinalement toujours, je l’ai embrassé sur la bouche, plus ou moins passionnément. Là, je me suis ...