1. On n'est jamais à l'abri d'une surp


    Datte: 14/03/2020, Catégories: Anal Auteur: pompier37, Source: xHamster

    ... trop honteux pour oser sortir sa queue et se branler devant le spectacle qui lui avait été offert. J’avais eu le sentiment de me venger de m’avoir contrainte à me faire partouzer, même si j’avais aimé ça, je l’avoue.
    
    À la bibliothèque, je lisais discrètement des ouvrages relatant des orgies romaines et je fantasmais à l’idée de pouvoir sucer un ou plusieurs mecs, encore. J’avais été à deux doigts d’entraîner un gars de la fac’ dans les toilettes d’un amphi’, tiraillée entre mon envie de queue et de foutre et ma culpabilité de faire du mal à Cédric, mais une copine m’avait appelée juste avant que je ne me lance. Dommage, il était pas mal foutu…
    
    En allant sur quelques sites pornos à l’appart’, j’étais tombée sur des vidéos de gang-bang, et j’en devenais dingue d’y penser. Il fallait que mon corps exulte, ou que je le calme. J’avais choisi de le calmer, raison pour laquelle je m’étais remise au sport et à la danse, à fond. Je ne voulais pas tromper Cédric. Enfin, j’avais choisi de calmer mon corps, dans un premier temps, parce que plus le temps passait justement, plus je sentais Cédric s’éloigner. Et j’enrageais de plus en plus contre lui. Non seulement il ne me parlait presque plus, mais il ne me touchait plus non-plus ; il avait repris des heures en plus à son boulot et je commençais à croire qu’il m’évitait. Je ne voulais pas le quitter, je l’aimais. Alors que faire ? J’étais excitée sexuellement, lui non, apparemment. J’avais besoin de parler, lui non. J’avais de ...
    ... plus en plus de ressentiment à son égard. Plus je réfléchissais, plus une pensée se dessinait dans ma tête : il fallait que je le punisse.
    
    Mais comment ? Avec qui ? Je ne savais plus quoi faire. La réponse à toutes mes questions allait arriver d’une manière dont je ne me serais jamais doutée…
    
    Lundi matin, j’étais dans le bus direction la salle de sport. J’avais un cours de danse ce matin-là. Il faisait déjà chaud pour un mois d’avril. Déjà en mars, le fameux soir où ces trois types étaient venus pour me baiser, il faisait déjà chaud, surtout dans notre appart’ (froid en hiver, torride dès le de début du printemps). Je n’avais pas cours à la fac’, j’avais décidé de m’inscrire en dernière minute pour un cours individuel ce lundi matin en question.
    
    J’arrive à l’entrée du complexe sportif et je me dirige vers le sous-sol où se trouvent les vestiaires et les salles de danse, celles avec les barres fixes et les miroirs. Je passe devant le local du concierge, un mec antipathique et gras, plus grand que moi de deux têtes, barbe noire pas rasée, moustache, longs cheveux noirs en queue de cheval, gros ventre et qui faisait sale. Les filles du cours du soir m’avait dit que c’était un pervers et qu’il était con et chiant, mais je n’avais pas relevé, c’est le genre de personne à qui je ne prête pas attention. La seule fois où je l’avais vu de près, c’est quand la prof’ de danse avait fait durer le cours plus longtemps de 10 minutes et il avait déboulé en râlant dans la salle, en ...
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