Une visite surprenante (5)
Datte: 13/03/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Faunus, Source: Xstory
En s’éveillant, le souvenir de la soirée revint à son esprit. « Odile ! Voilà qui je suis. » Ces quelques mots étaient sortis spontanément. Le dire, le vouloir ne lui semblait pas aussi simple. Une partie de son esprit luttait encore, cette idée impensable il y a peu de temps devenait acceptable. En s’asseyant dans le lit, elle ressentit une gêne. Ce devait être les séquelles de sa première expérience de ce côté-là. Les chiffres affichés sur le radio réveil l’informaient de l’heure tardive. « Bon sang neuf heures trente, j’ai dormi comme un loir. Il est temps de se bouger. » Au même instant, des grattements à la porte se firent entendre.
— Coucou, Odile, es-tu éveillée ma belle ?
— Oui, à l’instant, entre donc.
La porte s’ouvrit, laissant apparaître Élise, vêtue une fois encore d’un ensemble bleu qui lui allait bien. La petite différence était la forme de l’encolure, elle était en V et découvrait un peu plus que d’habitude la poitrine menue. Cela rajoutait un petit côté aguicheur. Bien évidemment, le regard partant à la découverte n’était pas passé inaperçu. Cela fit sourire la jeune femme, qui s’avança jusqu’au lit.
— Ma petite chérie, tu as un regard coquin ce matin. Cependant, je l’apprécie énormément. As-tu bien dormi ? Comment vas-tu ?
Tout en parlant, elle s’était penchée pour l’embrasser, un mouvement qui permit à Odile de découvrir deux jolis petits seins bien dessinés, pointus et entourés par des aréoles larges. Proximité et images tentantes, comment ...
... y résister, une main baladeuse était venue à la rencontre des globes offerts. Déjà, les doigts caressaient les mamelons, les bouts déjà proéminents pointèrent un peu plus.
— Ah ! Mais tu m’as fait frissonner, coquine. Tes doigts sont merveilleusement doux, j’aime tes caresses ma chérie.
— Ce n’est pas moi la coquine, c’est toi qui m’as dévergondée. À tel point que mon petit trou est sensible ce matin.
— Oh ! Pardon, ma chérie, je vais te passer un peu de pommade. Ne t’inquiète pas, tout va bientôt rentrer dans l’ordre. Il me faut juste le temps que je..., bon, donne-moi deux minutes, je reviens.
L’absence fut de courte durée, elle lui demanda de se tourner sur le ventre et entreprit de passer le produit sur la zone enflammée. Rapidement, la pommade fit son effet et la gêne disparus. Pour indiquer que le traitement était terminé, elle lui claqua la fesse.
— Aïe ! tu es quelquefois un peu brutale. Mais bon, ce n’est pas bien grave, je ne sens plus rien. Je suis contente d’avoir pu voir et toucher tes seins, ils sont très beaux.
En réponse, elle obtint un baiser langoureux et des mains qui se promenèrent un peu partout sur son corps.
— Bien, Odile, ma chérie, mon petit cœur, viens, allons déjeuner, tout est prêt, non ! Ne t’habille pas, ce n’est pas la peine. J’adore te voir nue, je ne m’en lasse pas. Tu me rends folle quand je vois tes petites fesses bouger.
Le petit-déjeuner copieux dura longtemps, Élise ne fut pas avare de paroles. Sans cesse, elle lui ...